J’ai rencontré cet homme dans un lieu public et , après avoir fait connaissance, il m’a invité chez lui, car il tient à me présenter sa conjointe.

Lui et moi sommes assis sur le divan en attendant qu’elle revienne avec nos verres. Elle s’assoit entre nous et nous buvons notre vin blanc tout en discutant amicalement. L’éclairage est tamisé et la musique douce. Je ne peux m’empêcher de regarder ses cuisses largement découvertes en raison de la jupe assez courte qu’elle porte. Ses yeux surprennent mon regard; elle sourit et dépose son verre sur la table à café. Puis elle saisit ma main et la place sur sa cuisse gainée de nylon. La main de son conjoint est posée sur l’autre cuisse.

Nous commençons à la caresser doucement. D’abord, de la cuisse jusqu’au genou, puis plus haut jusqu’à la jointure de ses cuisses. Nos mains s’attardent sur la peau nue à la limite de ses bas jarretelles. Mon autre main se porte à sa poitrine et enveloppe son sein. Son conjoint imite mon geste, sans abandonner ses cuisses. Nous défaisons les boutons de sa blouse et la lui retirons. Nous la relevons debout et défaisons le bouton et la fermeture-éclair arrière de sa jupe qui tombe sur ses chevilles. Nous la guidons vers le milieu de la pièce où nous la contemplons. Elle est magnifiquement désirable, vêtue seulement de son soutien-gorge blanc qui remonte légèrement et arrondit ses seins, sa culotte blanche très échancrée avec ce string qui sépare ses deux fesses rondes, ses bas blancs et ses souliers blancs.

Il défait l’agrafe de son soutien-gorge pendant que nous soulevons ses seins. Puis nos bouches se rassasient simultanément. Nous suçons longuement ses mamelons, les mordillons pendant que ses mains appuient su nos têtes comme pour nous forcer à demeurer en place. Nos mains caressent à la fois ses fesses et ses cuisses et sa chatte. Il se laisse tomber à genoux derrière elle et recouvre ses fesses de ses grosses mains chaudes et rugueuses. Je suis devant et couvre l’intérieur de ses cuisses de chauds baisers humides. Je retire sa culotte mouillée. Ma langue recouvre sa chatte et la savoure en la léchant vigoureusement de bas en haut. Au moment où elle s’insinue entre les deux lèvres, il fouille son anus avec sa propre langue. Il l’entrouvre légèrement en écartant les fesses avec ses deux mains et peut ainsi faire pénétrer plus loin le bout de sa langue chaude. Notre victime gémit et ne peut réprimer un mouvement giratoire de son bassin. Nous prenons plaisir à a la voir se tordre de plaisir et de désir.

Hommage convenu à Aubade...j'avais envie  ce soir  !

On connait  ces images, c'est vrai  mais qui  me jetterait la pierre pour les montrer une fois de plus, hum ?