soienoire
Raphaelle
voici son mail
Un grand bravo pour ton blog dont je ne viens de découvrir l'existence que ce matin : Je ne peux pas me retenir de te faire parvenir quelques photos de moi que tu auras tout loisir de publier, avec ma bénédiction !
Comme mon pseudo l'indique, je suis sur le département 60, en limite du 95, et je me déplace très souvent à Paris. J'ai la chance d'être totalement dépourvu de poils (au naturel) et les quelques endroits réputés pour en accueillir toujours (pubis et aisselles) sont traités systématiquement en institut par épilation à la cire ! Je peux donc poser devant l'objectif en tenues légères et sans complexes ni état d'âme.
Je possède une très belle collection de dessous et de fringues féminines ainsi que chaussures, perruques, bijoux et maquillage. Je suis particulièrement fier de mes jambes qui ont souvent fait râler des représentantes de la gente féminine qui, elles, ne pouvaient pas parfois en exhiber de semblables ! Je recherche des contacts (travestis ou couple H/F) pour faire des photos et plus si affinités, pour reprendre la formule consacrée.
Bravo encore pour ton blog et tes commentaires seront les bienvenus.
Bisous de Raphaëlle. raphaelle60@laposte.net
Nouveau blog
http://culottee.blogs.fr/
voici son message:
Bonjour,
la visite de ton site m'a donné l'envie de créer mon blog.
j'ai mis très longtemps à oser publier ainsi mes photos, que je diffusais au compte-goutte à mes contacts msn.
Grâce à toi, j'ai osé enfin m'afficher sur le net!
Je te transmets l'adresse de mon site dont j'espère que tu me diras ce que tu penses : http://culottee.blogs.fr
J'ai un peu peur de l'avis éclairé de "maîtresse" soie noire !
Merci de m'avoir libéré de la culpabilité sur mes envies.
Céline
Baby sitting
Je suis Justine, j’ai 20 ans et depuis trois ans environ je fais du baby-sitting chez des particuliers. Je suis une jeune fille blonde, j’ai les cheveux longs gaufrés, des yeux gris-vert, je mesure 1,76 m pour 52 kg. Je suis ce qu’il est convenu d’appeler une jolie fille style plutôt BCBG, même si j’aime être sexy.
Dans notre quartier chic de la banlieue lyonnaise, j’avais la réputation d’être une fille sage et délicieuse avec les enfants. Aussi, les sollicitations des parents ne manquaient pas et, presque tous les mois, j’avais une ou deux soirées retenues.
Parmi mes différents employeurs, il y avait depuis six mois environ un couple charmant. Lui, Xavier, devait avoir 30 ans, brun, grand et sportif, toujours très BCBG, les yeux bleus. Elle, Chrystelle, avait six ans de moins que lui, était blonde aux cheveux longs, sublime, avec à peu près la même corpulence que moi. Ils étaient tous les deux délicieux et attentionnés avec moi. Je les trouvais charmants. Xavier, qui se chargeait chaque fois de me raccompagner, était devenu pour moi une sorte d’idéal. Mais il y avait Chrystelle, si belle, si craquante… Je n’étais pas de taille.
Ce soir-là, l’ambiance est différente. Je les trouvais chez eux alors qu’ils s’apprêtaient à sortir. Xavier était déjà prêt, dans un costume en lin froissé superbe, dans des tons écrus sous lequel le tee-shirt noir dessinait parfaitement son torse musclé. Son eau de toilette m’enivrait déjà. Il était 20 h 30 et leur enfant dormait déjà. Comme toujours Xavier est très attentionné avec moi, me complimentant sur ma tenue. Je portais un top noir avec une mini en jeans plissée très mode et surtout des bottes noires souples à talons hauts qui semblaient faire leur petit effet. J’en étais ravie.
Seulement voilà, Chrystelle n’est pas prête, et visiblement Xavier est au comble de l’énervement. Chrystelle était dans la suite parentale, une immense chambre avec sa salle de bain et son dressing.
- — Écoute Chrystelle, dépêche-toi, nous avons rendez-vous à 21 heures, et il y a bien une demi-heure de route.
- — Xavier, ne me stresse pas. Je n’ai pas l’habitude de traîner. Je sors de la douche, je me suis maquillée, il ne me reste plus qu’à m’habiller.
- — Je vais aller t’aider…
- — NON ! C’est une surprise.
- — Écoute, fais vite.
Cinq minutes passent alors que je me suis installée dans le canapé. Xavier fait les cent pas dans le hall d’entrée.
- — Justine, allez l’aider, nous allons être très en retard.
- — Oui, bien sûr.
Je me lève et me dirige vers la chambre. La porte est fermée, je frappe.
- — Chrystelle, c’est Justine. Je peux venir vous aider ?
- — Oh merci, Justine, entrez !
J’entre en prenant soin de refermer la porte derrière moi. Je découvre Chrystelle nue face au grand miroir en train de poser sur ses seins une guêpière en dentelle rouge du plus bel effet. Elle me sourit dans le reflet et je me positionne dans son dos pour fixer les petites attaches qui courent le long de sa colonne vertébrale. Ayant commencé par le haut je descends lentement jusqu’au creux de ses reins où je positionne la dernière agrafe. Accroupie dans son dos, j’ai la confirmation de sa beauté, son petit cul rebondi m’excite au plus haut point. Il n’y a aucune marque de bronzage, et si j’osais je déposerais un baiser sur chacune de ses fesses.
- — Vous ne deviez pas m’aider, Justine ?
- — Heu… si, pardon…
Perdue dans mes pensées coquines, j’en avais complètement oublié Chrystelle qui avait déroulé sur ses longues jambes fuselées des bas voiles noirs sublimes. De vrais bas couture en nylon, aux revers plus sombres, sur lesquels elle fixe les jarretelles de devant, m’invitant à fixer celles de derrière en prenant soin de positionner parfaitement la couture bien droite. Je m’y applique tout en constatant que le rouge me monte aux joues.
- — Justine, chaussez-moi de ces escarpins, je ne voudrais pas filer mes bas. Ils sont si beaux, n’est-ce pas ?
- — Ils sont sublimes et si doux, dis-je en les lissant et les fixant haut sur ses cuisses.
Je lui passe ses escarpins noir vernis aux talons hauts d’au moins dix centimètres. Elle est superbe ainsi parée. Je l’admire, dans sa quasi-nudité me dévoilant l’absence de culotte soulignée par une épilation totale de son sexe, qui m’apparaît parfaitement lisse. Perchée sur ses talons hauts, elle est si différente, si sensuelle, dans cette tenue sexy à souhait. Elle me demande de lui passer une robe en dentelle rouge qui était posée sur le lit et l’enfile directement sur la guêpière. Un collier de perles ras du cou et des boucles assorties complètent la tenue. Alors que je ne peux détacher mes yeux de la belle, elle me dit :
- — C’est l’anniversaire de Xavier et je veux être son cadeau, je devrais lui plaire.
- — Waouh, vous êtes…
- — Alors, Chrystelle ? Nous allons être en retard…
- — Voilà, je suis prête
Chrystelle enfile un manteau, et c’est avec un clin d’œil complice qu’elle me laisse dans leur appartement. Il est près de 21 heures…
Me voilà seule, je vérifie que leur fille dort ; je vais pouvoir regarder la télé. Je m’installe dans le salon devant le grand écran plat, dans ce magnifique canapé de cuir ivoire. Malgré une profusion de chaînes de la télévision par satellite, je zappe sans vraiment trouver un programme intéressant. Tout en repensant à ce début de soirée avec Chrystelle, je tombe, par hasard, sur Playboy TV.
Le programme est constitué de mini-films de charme où les corps des actrices sont sublimés par de la belle lingerie. Je repense à Chrystelle dans cette magnifique guêpière… Tout naturellement, ma main droite glisse sur le haut de ma cuisse, remontant ma mini plissée jusqu’à dévoiler le revers de mes Dim up noirs. Je me mords les lèvres, j’ai envie de me caresser mais je ne peux pas, pas ici, pas chez eux…
Elle était si sensuelle, si belle dans cette tenue… Comme j’aimerais être à sa place.
Il faut que je me calme. Je me lève et me dirige vers la cuisine pour boire un verre d’eau fraîche. Il est près de 23 heures déjà, ils doivent rentrer vers minuit trente. Je me dirige vers la chambre de l’enfant pour m’assurer que tout va bien, ce qui est le cas. Un amour à garder.
En retournant vers le salon, je passe devant la porte de la chambre des parents ; la lumière de salle de bain parentale est restée allumée, je vais aller l’éteindre.
Je remarque alors la commode de Chrystelle ouverte, un tiroir rempli de trésors de dentelle, nylon, satin, soie… Je suis attirée, mes yeux pétillent, je m’approche, admire, et bien évidemment, je touche. J’adore. Sans être fétichiste, j’ai toujours été attirée par la belle lingerie mais jusqu’à ce soir cela est resté sage. Certes, quelques balconnets et autres tangas ou strings font partie de mes trésors, mais jamais je n’ai porté de porte-jarretelles, ou mieux encore de guêpière comme celle que Chrystelle a mise ce soir. Pour ma part, si je préfère effectivement porter des Dim up plutôt que des collants, je n’ai jamais osé franchir le pas. En tout cas, pas avant ce soir…
Effectivement, l’occasion est trop belle et l’ensemble que je viens de découvrir est irrésistible, en dentelle noire brodée d’or. Il y avait là un délicieux balconnet, le string assorti minimaliste, et le divin porte-jarretelles. Je me sens rougir en même temps que l’excitation grimpe, tout comme l’envie d’essayer de suite.
Il ne me faut pas plus d’une minute pour me retrouver nue devant le grand miroir de la chambre de Chrystelle et Xavier, admirant mon reflet de jeune fille plus très sage. Mon piercing strass au nombril scintille, je remarque mes seins aux tétons dressés que je prends soin d’exciter encore davantage en les pinçant entre mes pouces et index, les caressant jusqu’à venir jouer avec ma langue dardée alors que je tire le téton vers ma bouche.
Mes yeux glissent sur le reflet de mon corps nu jusqu’à mon pubis blond et clairsemé. Je me saisis du délicieux porte-jarretelles, le pose sur mes hanches avant de le fixer, prenant soin de positionner les jarretelles de part et d’autre de mon pubis. Puis je pose le balconnet sur mes seins, les couvrant de cette précieuse dentelle, ce 90B est parfait sur moi. Mais les jarretelles tirebouchonnent sur mes cuisses, je me veux belle, désirable, autant que pouvait l’être Chrystelle ce soir, aussi parfaite. Dans le tiroir du dessous, je trouve une multitude de bas noirs, gris, chairs… y compris des pochettes de bas neufs.
- — Oh, les mêmes que ceux de Chrystelle, des Carnations de Gerbe !
Je ne peux résister, j’ouvre l’emballage et sors ces quelques grammes de nylon qui vont changer ma vie. Assise sur le bord de leur immense lit je prends soin de rouler puis d’habiller mes jambes de cette seconde peau… humm, un délice, des bas si fins… j’adore ! Je fixe les jarretelles devant puis, en me soulevant légèrement, derrière, avant de me remettre debout face au miroir…
Je ne peux pas les abîmer, il me faut des chaussures. Dans le dressing, toute la partie basse en contient des dizaines de paires. Je choisis une paire d’escarpins noirs vernis avec des talons de près de 10 centimètres. Je me chausse et reviens devant le grand miroir, perchée sur mes talons, impudiquement cambrée.
Waouh ! L’image que me renvoie celui-ci n’a plus rien à voir avec la jeune fille sage du début de soirée. Je suis sublime, une vraie femme, ainsi je peux rivaliser avec n’importe laquelle des actrices de X qui fascinent tant les garçons de mon âge. J’ajuste les jarretelles, tirant sur les bas pour les faire monter un peu plus haut. J’avais laissé sur la commode le string assorti ; je m’en saisis, il est vraiment mini, en dentelle noire brodée d’or, presque transparent devant, et pour la partie pile réduit à la plus fine des ficelles.
Délicatement je soulève un pied sans quitter mon escarpin et enfile le string, puis l’autre pied. Je remonte ce petit bijou, couvrant ma fine toison en prenant soin de le placer haut sur mes hanches par-dessus le porte-jarretelles.
- — Divine…
- — Effectivement !
C’était la voix de Chrystelle, debout dans l’encadrement de la porte. Je n’avais rien entendu, mais quelle heure était-il ? Je n’avais vu le temps passer…
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