soienoire
Heures supplémentaires
Des heures supplémentaires payantes
earth_angel
Pourquoi suis-je incapable de dire non? Encore un samedi à travailler. Il faut bien que je l’aide, mon patron est tellement bordélique et désorganisé. Il doit rendre un rapport pour une alliance avec de nouveaux clients mais seul il ne pourrait jamais y arriver. Je n’ai peut être rien de prévu durant ces journées mais j’aime bien flâner. Comme il fait chaud, je mets une jupe assez courte et un chemisier léger. De toutes façons, mon patron est si distrait qu’il ne remarquera pas. Et s’il me réprimande, et bien il les fera tout seul ces samedis de temps supplémentaire.
J’arrive au bureau et comme tous les derniers samedis, Stéphane, mon patron, est déjà arrivé. Gageons qu’il n’a rien commencé encore. Il est sûrement assis à son bureau à siroter un café en lisant le journal. Je me stationne et monte dans le bureau. Effectivement, il sirote un café, mais le journal a été remplacé par l’Internet. Dès que j’arrive, il ferme la fenêtre Internet et vient vers moi en se passant la main dans les cheveux d’un air coupable. Je ne pose aucune question car après tout, c’est mon patron, il fait bien ce qu’il veut. Il semble avoir chaud et être mal à l’aise mais encore là, pas de commentaires. Nous commençons à classer les dossiers, une chance qu’il n’en reste pas beaucoup, si je veux avoir le temps de rédiger le rapport. Monsieur, il me manque le dossier Gauthier, avez vous une idée d’où il pourrait être?’’
Il regarde un peu autour de lui en réfléchissant et semble soudain se rappeler. ‘’Je l’ai mis dans le dernier tiroir en bas, hier soir’’. Je me penche pour fouiller dans le classeur mais ne le trouve pas. ‘’Vous êtes certain? Je ne le vois pas. Peut être serait-ce un autre tiroir?’’
Il s’approche et je réalise à présent que ma jupe, très courte, doit laisser entrevoir que je ne porte pas de sous vêtements. Il se glisse derrière moi et je peux sentir le tissu de son pantalon frotter sur le haut de mes cuisses et sur mes fesses. ‘’Regardez bien Mélissa, dans le dernier tiroir, il doit être là, j’en suis certain’’. Il se penche par dessus mon épaule en s’appuyant de sa main gauche sur le haut du classeur pendant que de sa main droite, il remonte le long de mes cuisses jusqu’à mes fesses. Il les frôle du bout des doigts et je sens la chair de poule m’envahir. ‘’Cherchez encore Mélissa, je suis certain qu’il est là. Penchez vous un peu plus, ce sera plus facile de voir jusqu’au fond ’’. Je m’exécute mais j’avoue que je fais semblant de chercher car je me concentre sur ses doigts qui glissent sur ma chatte. Il entre un doigt entre mes lèvres pour ouvrir un peu ma chatte et frotte mon clito. Je suis déjà très excitée et son doigt n’a aucune difficulté à glisser. J’ouvre un peu les cuisses pour lui faciliter la tâche et il décide alors de se mettre à genou derrière moi et de relever ma jupe complètement. De ses deux mains, il écarte mes fesses et ma chatte et glisse sa langue, de mon clito à mon joli petit cul. ‘’Hummmmm, cherchez encore Mélissa, vous êtes une bonne assistante, vous vous devez de trouver ce dossier. Vous savez à quel point il est important pour notre rapport’’. Il enfouit ensuite son visage entre mes cuisses pour aller sucer mon petit bouton tout rose et gonflé de plaisir. Il entre en même temps deux doigts dans ma chatte et fait un mouvement de va et vient plutôt intense.
Il se relève et me retourne vers lui. ‘’Vous me décevez Mélissa, un dossier a été égaré et il nous est nécessaire pour notre projet. Venez ici on va remédier à cette situation. Une bonne assistante se doit de pouvoir toujours être en mesure de lui donner ce que son patron lui demande’’. Il m’installe face à son bureau et m’oblige à me pencher vers l’avant. Il relève à nouveau ma jupe et commence à me donner la fessée. Doucement mais d’une façon quand même ferme et autoritaire. Je sens sa main chaude me frapper les fesses à plusieurs reprises. ‘’Vous savez Mélissa, je n’aime pas avoir à punir mon assistante mais vous allez maintenant vous rappeler qu’on ne perd pas de dossiers. Venez vers moi, je vais vous punir comme il se doit’’. Il me retourne et me fait mettre à genou devant lui, Il défait sa ceinture et prends mes mains pour les mettre sur la fermeture de son pantalon. En bonne assistante, je défais son pantalon et le descends, lentement, pour dévoiler un sexe bien gonflé et dur. Ah ! Lui non plus ne porte pas de sous vêtements. Je prends ses couilles dans mes mains et le pétris délicatement. J’approche ma bouche de sa queue toute dure et commence à le sucer doucement. Il me tient pas les cheveux et pousse ma tête pour que je le prenne au fond de ma gorge. Il étire l’autre bras et tourne l’écran de son ordinateur avant de taper quelques mots sur le clavier. ‘’Regarde salope, c’est comme ça qu’on fait. Tu vois, tout au fond de la gorge. Alors vas y, fais ta bonne fille et suce moi comme il se doit’’. En regardant l’écran, je vois une fille qui engouffre une queue d’au moins 9 pouces de long. Elle la prends au complet dans sa bouche, la ressort, la reprends encore et ce, sans le moindre problème. Je réalise que c’était ce qu’il regardait avant que j’arrive. Stéphane me fait lever debout et me demande de me déshabiller. Je commence à enlever ma camisole mais il m’arrête. ‘’Danse pour moi, soit sensuelle, lascive. Fais une chienne de toi’’. Je me caresse donc à travers la camisole. Mes seins sont fermes et les mamelons dressés vers Stéphane. Je les pince, à travers le tissu. Lui me regarde et caresse sa bite bien bandée. J’entre mes mains sous ma camisole et me caresse. Doucement, tout en me caressant, j’enlève ma camisole. Je descend mes mains vers ma chatte et entreprends de me caresser. Je mets un doigt dans ma bouche et le goût sucré de ma chatte m’excite davantage. Je suce mon doigt et de l’autre main je commence à caresser cette grosse bite bien dure. Stéphane m’enlève ma jupe. ‘’Tu ne finis pas ton travail? Salope allez, penche toi’’, et il me plaque contre son bureau à nouveau. Cette fois, la fessée était plus forte. Je réalise qu’il a utilisé sa ceinture. Après quelques coups de ceinture sur mon joli petit cul, il la passe autour de mon cou et la tient, comme une laisse. De son autre main, il me pince un sein. La douleur m’excite et j’en ai presque honte. Comment puis-je aimer me faire traiter de la sorte. L’excitation l’emporte quand il me défonce la chatte d’un coup nette en tirant sur la ceinture pour que je me cambre plus. Il est déchaîné. Il me baise comme une bête. ‘’En laisse, c’est comme ça qu’on doit tenir les chiennes comme toi. Ouvre ton cul pour moi.’’ Et il me plaque le visage contre le bureau. De mes deux mains, j’écarte mes fesses et il y entre comme un animal. Il me défonce tout en me tenant par les hanches. Parfois, quelques fessées viennent agrémenter cette baise sauvage, voire bestiale. Il me fait retourner pour que je le suce car il est près d’exploser. Je prends sa queue dans ma bouche et il y entre jusque dans ma gorge. Lorsqu’il est sur le point d’exploser, il me tire par les cheveux pour que je puisse tout prendre dans le visage. J’ouvre la bouche et sort la langue et je reçois tout sur moi. Mon visage, mes cheveux, mes seins, j’en ai partout.
Lorsqu’il a terminé, il me dit de regarder dans le dernier tiroir de son bureau. Le dossier Gauthier est là. ‘’Je t’avais dit le dernier tiroir, je n’avais jamais parlé du classeur’’.
Photos trouvées sur le Web ayant quand meme un rapport avec l histoire...
Bon Week end, je pars quelques jours en congés, le Blog sera remais à jour jeudi prochain, profitez en pour faire plein de photos..
kissss
soienoire@hotmail.com
Lire les commentaires textes
Je suis époustouflé plus je retourne en arrière sur ce blog plus il y as de jolie chose bernard tu es super
je crois qu'il faut que je me prenne le temps de voir ce blog par la dernière page est remonter le temps
j'espère que je vie asses longtemps pour arrivée de nouveau au nouvelle fraiche
Jolie lingerie mais comment sais tu que ces dessous sont "très doux" ????????
Quel coquin ce Bernard, on aime beaucoup.
jolie lingerie en effet