Le récit qui suit n’est ni un fantasme, ni une histoire imaginée, mais le récit extrêmement fidèle d’une tranche de vie.

Je vous avais raconté que ma femme m’avait surpris en train de mater les photos du blog de soienoire. Elle n’y avait vu qu’un site porno, et croyais que seule la vision de lingerie m’excitait. C’est vrai, mais en porter m’excite encore plus !. Nous avons eu des échanges assez vifs sur nos conceptions respectives de la sexualité, mais je ne lui avais pas dit que j’aimais porter de la lingerie féminine moi-même, encore moins que j’en mettais quand j’étais seul à la maison ou bien le matin après la douche, sous mon peignoir, pendant que je me rase et me brosse les dents d’une main, de l’autre je me caresse délicieusement…

Après cet orage, elle avait décidé de corser un peu nos ébats. Un soir elle m’avait littéralement sauté dessus alors que l’on venait de s’installer devant la télé : sous sa jupe bien sage, elle portait un slip fendu. Une autre fois, au moment de me glisser sous les draps, elle m’apparaissait vêtue d’un string à pompon, un soutien-gorge redresse sein et une nuisette rouge. Une autre fois, uniquement vêtue d’un ensemble S-G et string rose en dentelle, elle me réveillait de ma sieste dominicale par une fellation délicieuse. Un commentaire sur le blog m’avait suggéré de faire un coming-out en m’emparant d’une de ses culottes pendant nos ébats et de l’enfiler sur le mode jeux. Je n’osais le faire, attendant le moment propice… Et puis les extras se sont espacés.

Mais ce soir là je suis rentré en pleine forme ! La journée au boulot avait été calme et m’avait permis de surfer discrètement sur le WEB vers des photos de …lingerie et sex-toy.

Après le repas, je débarrassais rapidement la table et couchais les enfants. Ma femme regardait la télé, un truc qui n’avait pas l’air très intéressant. Je lui indiquais que je préférais aller me coucher, avec une petite idée derrière la tête.

Passage par la salle de bain avec une rapide toilette intime, 2 gouttes d’eau de toilette et direction la chambre. Que faire ? Je n’étais pas encore prêt à oser revêtir une des culottes de ma femme. J’enfilais un mini-slip en nylon rouge avec des scratch sur le coté. Ma femme l’avait acheté au début de notre mariage (il y a 12 ans) et je l’utilisais rarement. Je sortais aussi un anneau vibrant que j’enfilais sur mon sexe déjà en érection. Très excité, je me mettais au lit et prenais un livre pour patienter. Peu après, j’entendis ma femme monter l’escalier, arrêt aux toilettes, puis passage par la salle de bain. Allait-elle, elle aussi, vouloir me faire une surprise ? Revêtir une nuisette transparente, avec un string en dentelle ? Hélas non, elle revint de la salle de bain, se déshabilla. Je gardais l’espoir qu’elle garde la ravissante parure composée d’un shorty-string en microfibre noir avec dentelle rouge et le S-G assorti, mais elle les retira rapidement et se mit sous la couette. Tant pis, on fera sans ! Je posais mon livre, mais n’éteignis pas la lumière. Je me rapprochais d’elle, commençais à lui caresser le dos, les cuisses, lui faire un bisou dans le cou… « Oh non, pas ce soir, je suis fatiguée ». Bon, ça va j’ai compris… Inutile d’insister, je n’ai pas envie de tirer un coup vite fais mais d’un long moment de plaisirs partagés. Je me défais de mon slip et de mon anneau, me retourne et m’endors, contrarié.

Le lendemain matin, je me réveille après une nuit agitée de rêves érotiques. Pas vraiment reposé, ni détendu, avec une érection bien raide. Passage sous la douche où l’idée d’une masturbation est repoussée : j’ai envie de mieux que ça ! Retour dans la chambre, la lumière est toujours éteinte et ma femme sommeille. Au pied du lit le shorty et le S-G gisent, témoins agaçant des mes envies. J’ouvre le tiroir de la commode contenant mes sous-vêtements, et là, l’idée jaillit. Si j’osais ? Non, c’est trop dangereux, trop fou. Et si elle ouvre les yeux ? Aller, j’y vais. Je prends un caleçon et une paire de chaussette et les enfile. Puis, je referme le tiroir et ouvre sans bruit le tiroir du dessus, celui qui contient les sous-vêtements de ma femme. Il y a très peu de lumière dans la chambre, je laisse mes mains choisir tandis que je garde les yeux fixés sur ma femme qui dort toujours. J’enfourne rapidement, un string, un porte-jarretelles et des bas dans mon boxer, enfile mon pantalon, mets ma chemise. Je retourne vers le lit, embrasse ma femme avec un « A ce soir chérie » et descends dans la cuisine pour préparer le petit-déjeuner. J’enfourne rapidement une tasse de café et une tartine. Puis, les mains tremblantes, je sors les trésors de mon caleçon pour les examiner. J’ai pris un string en dentelle crème, un porte-jarretelles rouge et une paire de bas noirs , style Dim-Up. Bon l’ensemble est un peu hétéroclite, mais je ne vais pas à un défilé de mode.

J’enlève mon pantalon et mon caleçon, mets le string, positionne le P-J, je retire mes chaussettes et enfile les bas. Le positionnement et le clip des jarretelles se font avec quelques difficultés. Tout en m’escrimant je tends l’oreille, pour guetter le moindre bruit. S’il prenait à ma femme l’idée de descendre pour une raison ou une autre et qu’elle me surprenait dans cette tenue, j’aurai du mal à trouver une explication crédible.

Je remets chaussettes, caleçon et pantalon. J’ai les mains moites. Je mets mes chaussures, enfile ma veste et m’examine dans la glace de l’entrée. Rien ne dépasse, ni ne semble visible.

Premier moment de délice lorsque je monte sur mon vélo pour aller à la gare. Les jarretelles se tendent, les bas frottent sur mes cuisses, le string me rentre dans la raie des fesses.

Je pédale doucement pour bien profiter de toutes ces sensations. Ma main gauche lâche le guidon pour caresser ma cuisse. Mes doigts sentent sous le tissu du pantalon le bouton de la jarretelle et le doux crissement du bas… Je bande comme un fou !

Arrivé à la gare, je pose le vélo, et vais sur le quai attendre mon train. Soudain, une main s’abat sur mon épaule. C’est Tony, un voisin, qui prend parfois le même train que moi. La conversation s’engage :

-         Pas très chaud ce matin, dis-je

-         C’est vrai. Et mate un peu la greluche la-bas ! Avec la jupe bleue, assez courte. Elle a pas l’air d’avoir froid aux miches celle-la ! Elle doit avoir le feu au cul. Je te parie qu’elle porte un string et des Dim-up

Tony est un vrai macho. S’il savait que j’en porte un de string ! Et de femme en plus, et avec des bas et un P-J ! Sensation grisante du secret…Le train arrive, nous montons nous installer. Je tire un peu pour remonter mon pantalon, afin que les boutons des jarretelles ne soient pas visibles sous l’étoffe du pantalon.

            - Merde, dit Tony, je me serai bien installé en face de la fille en jupe, histoire de me régaler les yeux.

Je m’imagine lui répondant «  Tu veux voir, regardes ! » et je baisserai alors mon pantalon devant ces yeux ahuris.

Pendant tout le voyage, tandis que nous discutons de choses et d’autres, je caresse discrètement mes cuisses pour sentir les bas crissés sous mes doigts.

Puis c’est le métro, bien tasser les uns contre les autres. J’essaye de ne pas me retrouver trop serrer. Je scrute les visages des gens, essayant d’imaginer leur tête s’ils savaient. Peut-être certains hommes cachent-ils le même secret que moi ? Le grand, là-bas, sous son beau costume, il porte peut-être un string, ou même une guêpière ? L’idée me fait bander de nouveau.

Arriver au boulot, je retrouve les collègues, hommes et femmes. Assis derrière mon bureau, je n’arrête pas de croiser et décroiser les jambes. Ivresse !

A 10h00, je n’en peux plus et me dirige vers les toilettes. Il y a des toilettes pour handicapés à l’étage. Elles ont la particularité d’être assez spacieuses pour accueillir un fauteuil roulant, d’avoir un siège WC rehaussé et … de posséder une grande glace ! Je m’enferme dedans, me plante devant la glace, baisse pantalon et caleçon et relève ma chemise. Le spectacle est délicieux. Mon sexe est douloureux à force de tendre le tissu du string. Je le libère et commence à le caresser doucement, tendrement… C’est top bon ! Mais je m’arrête, pas maintenant, pas encore. Je sais qu’une fois que j’aurai joui, mon excitation retombera, que je serai même un peu honteux de mon comportement.

Midi, heure de déjeuner avec les collègues. Et sur quoi porte la discussion, je vous le donne en mille, les différences ente le collant, les Dim-Up et les bas avec P-J ! Pour les hommes, évidemment, le collant tue l’amour, les Dim-Up c’est mieux et vive le porte-jarretelles ! Naturellement, toutes les femmes présentes affirment ne jamais porter de P-J, trop contraignant, inconfortable, démodé, ringard, pour les vicieux, etc…. Les Dim-Up c’est quand il fait chaud, les collants quand il fait froid. Je fais remarquer que :

-         C’est vrai pour les Dim-Up, mais les bas donnent une sensation de liberté et de fraîcheur et le porte-jarretelles évite le coté caoutchouc du haut des Dim-Up

-         On voit que Monsieur est connaisseur rétorque une collègue. En aurais-tu déjà porté par hasard ? Je voudrais bien voir ça !

Je pique un fard devant la mine rigolarde de mes collègues.

L’après-midi est malheureusement assez chargé. J’ai un mal fou à me concentrer sur ce que je fais. Je n’arrête pas de bouger sur ma chaise, à tel point que mon collègue m’apostrophe :

-         Mais cesse de bouger comme ça ! T’as ton string qui te rentre dans la raie ou quoi ?

Je bafouille que non, prétexte des fourmis dans les jambes, me lève et retourne aux toilettes handicapés.

J’y suis bien resté une demi-heure et j’ai joui deux fois, la deuxième avec le pouce gauche enfoncé dans l’anus. Je suis enfin apaisé, repu. J’ai les jambes molles, le souffle court.

Je retire les bas, le P-J et le string. Un des bas a filé sur la cuisse et l’autre au niveau de l’orteil du pouce. Je vais devoir les jeter. Le P-J n’a rien, mais le string présente des « traces » importantes. Je le lave dans le petit lavabo et l’essore du mieux que je peux avant de le sécher avec l’essuie-mains à air chaud. Je fourre les bas dans une poche, le string et le P-J dans l’autre et retourne à ma place.

Mon collègue me regarde du coin de l’œil.

-         Tu n’as pas l’air dans ton assiette. Tu sais, je rigolais tout à l’heure. Si tu n’es pas bien, tu devrais rentrer.

-         Non, non, ça va. Un petit coup de fatigue c’est tout.

Je suis rentrer chez moi tout songeur le soir. Les deux mains bien enfoncées dans mes poches pour serrer mes trésors. J’ai jeté discrètement les bas en boule dans une poubelle de la gare.

Arrivé chez moi, j’ai replacé le P-J et le string dans leur tiroir.

Le soir quand je me suis couché, ma femme s’est blottie contre-moi et m’a susurré :

-         Ce soir je suis moins fatiguée qu’hier.

Conscient qu’un refus serait très mal pris, je me lançait à l’assaut. Mais j’avais épuisé mon influx érotique et cela fut loin d’être un feu d’artifice. Ma femme m’en fis la remarque :

-         Tu semblais plus en forme et excité hier soir ! C’est tes nanas du boulot qui te fatiguent comme ça ? Faut-il que je mette un string et des bas résilles pour faire grimper la libido de Monsieur ?

Son ton n’incitait pas répondre oui. Je bafouillais que j’avais eu une journée difficile, qu’on ne pouvait pas être en forme tous les jours…

Je ne suis plus reparti au boulot ainsi vêtu depuis ce jour de printemps. J’y pense parfois, mais oserais-je ?

 

Je joints des photos de ma tenue de ce jour là que j'ai reconstitué, ainsi que deux autres photos.

Feticol, fan de collants

vous aussi envoyez vos clichés à :  soienoire@hotmail.com

Ben oui, son pseudo étant" Zorro",  quel meilleur accueil pouvions-nous lui faire ??

En train, au cinéma, en voiture,mais  toujours en petite lingerie, elles sont  belles nos femmes !

Tres belles culottes;bravo:...on en veut encore... fais nous des photos en extérieur, je  te sens prête pour ça.