soienoire
Au cinéma
J’avais quitté le bureau très tôt pour profiter de ce magnifique après-midi. C’était déjà la fin du mois d’août, le soleil resplendissait, et la rue offrait au regard une foule de jolies filles qui exhibaient leur nombril. Un véritable supplice. C’est peut-être pour cette raison qu’une impulsion soudaine me fit m’engouffrer dans un cinéma « spécialisé ». Le passage de la lumière violente du jour à l’obscurité me força à chercher une place à tâtons. À part l’écran, je ne distinguais presque rien. Je tentai ma chance dans une rangée où je réussis à m’asseoir sans encombre. Après quelques minutes, mes yeux s’étaient adaptés. La salle était presque vide.
Un nouvel arrivant, aussi aveugle que moi au début, s’engagea dans ma rangée et s’installa à côté de moi. Comment avais-je pu m’enfermer dans cette salle glauque par un temps pareil ? J’ai pensé me déplacer de quelques sièges, mais je n’en fis rien. J’étais concentré sur le film, un classique, avec Vanessa del Rio. J’ai toujours été fasciné par l’énorme clitoris de cette magnifique actrice. On dirait un petit pénis, c’est assez troublant. J’ai eu un jour une aventure avec une fille dont le clitoris était un peu comme celui-là. C’était encore un cunnilingus, mais déjà presque une fellation. Ça m’excitait beaucoup. Je crois que j’aimerais bien sucer une queue. Malheureusement, les hommes ne m’attirent pas. Je devrais peut-être essayer une transsexuelle. J’en ai vu quelques-unes sur Internet qui sont incroyablement féminines, même si la plupart d’entre elles ont plutôt l’air de vulgaires travelos. Et puis, il y a les risques de maladies…
J’en étais là dans mes pensées quand j’ai senti une pression sur ma cuisse. Il me fallut un instant pour comprendre qu’il s’agissait de la main de mon voisin. Il était en train de me tripoter la cuisse ! J’aurais dû ressentir de la colère ou du dégoût, mais en fait, une étrange chaleur se répandait dans mon ventre. Sa main remontait le long de ma cuisse et je n’arrivais pas à réagir. Ou plutôt, si : mon sexe, déjà gonflé, se déplaça dans mon pantalon. Sa main glissa le long de ma verge, l’enserra à travers le tissu et commença un lent va-et-vient. Ma tête me disait de m’en aller, mais je n’arrivais pas à bouger. Je jetai un coup d’œil sur l’individu. C’était un quinquagénaire bien habillé, chevelure argentée, plutôt athlétique. Il regardait l’écran comme si de rien n’était. Je ne savais plus quoi faire. J’avais souvent rêvé d’un scénario semblable, mais, dans mes fantasmes, la main baladeuse appartenait à une femme mûre aux seins généreux. Bon, il n’avait pas de seins, mais il savait drôlement y faire. Ma queue était maintenant raide comme une barre.
Le mouvement de sa main s’arrêta soudain et je sentis qu’il s’attaquait à ma fermeture éclair. Doucement, il glissa sa main dans ma braguette et en extirpa ma verge. Il l’empoigna fermement et se remit consciencieusement au travail. Je regardais sa main aux doigts fins qui enserrait la hampe de mon pénis, sans jamais recouvrir mon gland congestionné, étrangement blafard sous cette lumière. Une goutte perlait du méat. Ma main, semblant soudain dotée d’une volonté indépendante, alla se poser sur la verge de l’homme. Quand j’ai réalisé la taille de la chose qui garnissait son pantalon, j’ai bien cru que j’allais éjaculer, mais l’homme stoppa net sa masturbation tout en maintenant une pression ferme juste sous mon gland. Il était moins une. Sa main libre se posa sur la mienne et lui imprima le mouvement approprié. Sa verge se dessinait nettement sous la toile. Après un court moment, il écarta ma main, ouvrit sa braguette, en fit jaillir la bête, puis il attrapa de nouveau ma main et la guida vers son incroyable engin.
J’étais vraiment impressionné. Mes doigts ne pouvaient en faire le tour et son gland, aussi gros qu’une balle de golf, luisait dans la pénombre, comme un fruit défendu. J’aurais voulu le prendre dans ma bouche, mais ma raison prit le dessus. J’étais cependant bien décidé à lui faire cracher son jus. Ma main montait et descendait le long de ce sexe magnifique. Parfois, je le sentais se raidir et je croyais qu’il allait exploser, mais rien ne se passait. Je continuais de plus belle. Il dégrafa son pantalon, écarta sa chemise. Il était prêt. J’accélérai le mouvement. Sa queue devint encore plus dure, tressauta, un spasme l’agita et un ruban de sperme blanc en jaillit, s’écrasa sur son ventre et coula entre mes doigts. Il se tourna vers moi et me dit :
- — J’aimerais que tu éjacules sur mon ventre !
Je regardai autour de nous. La salle s’était vidée. Nous étions seuls. Je me levai et je me plaçai devant lui, entre ses jambes. Il attrapa mon pénis et commença à le masturber en l’orientant vers son ventre. Ça me faisait un peu mal, car mes érections sont résolument verticales. Il glissa son autre main entre mes cuisses et je sentis son doigt se presser sur mon anus. Je jouis instantanément. Un long jet, bien épais, puis un deuxième, et encore un autre atterrirent lourdement sur son ventre, coulèrent sur son pénis. Il continua sa caresse un moment.
Nous reprîmes notre souffle, puis, avec un magnifique sourire, il me tendit un kleenex et me dit merci. Je bredouillai un merci embarrassé, je remballai mon attirail et je me sauvai, honteux.
La semaine suivante, je revins, même jour même heure. Il était là, au même endroit. Il n’était pas seul. Il y avait quelqu’un près de lui. Je m’étais arrêté, hésitant, au bout de la rangée. Il m’aperçut, et me fit signe d’approcher. La salle était encore déserte. Il déboutonna la chemise de son voisin. Ce n’était pas un voisin, mais une voisine. La vue de ses seins, et de sa main disparue dans la braguette de l’homme, m’excitait terriblement. Je défis ma braguette et m’approchai. L’homme attrapa ma queue et la frotta contre les seins tout blancs. Il remonta la jupe de la fille et je n’en crus pas mes yeux. Une magnifique bite se dressait devant moi, longue et fine. Je la pris dans ma main, la caressai. Elle laissa échapper un petit gémissement. Je n’en pouvais plus. Je m’agenouillai devant elle pour admirer sa verge. J’approchai mon visage. Elle sentait bon.
Du bout de la langue, j’effleurai le frein. Averti par un petit cri, j’eus à peine le temps de m’écarter qu’une formidable giclée me rata de peu. Sa verge frétillait dans ma main, bien raide. Mon voisin se pencha sur elle et la prit dans sa bouche. Je décidai de m’occuper de lui. Son énorme verge était à demi bandée. Je posai ma main sur ses couilles, ce qui la fit se redresser. L’empoignant à deux mains, je fis coulisser l’étui de chair. Chaque mouvement provoquait un léger spasme. Je sentis une main se glisser entre mon pantalon et mes fesses. Un doigt cherchait à s’insinuer dans mon anus. N’en pouvant plus, je posai mes lèvres sur son gland, j’ouvris la bouche, et je pris son sexe dans ma bouche. Ce fut immédiat. Son sperme faillit m’étouffer. Ça coulait sur mes lèvres, sur mes doigts. Je me mis à jouir, sans qu’on me touche.
Je suis reparti honteux, encore une fois. J’avais pris un risque idiot, mais la chance est heureusement restée de mon côté. Je ne suis jamais retourné dans ce genre d’endroit. Mais j’y repense parfois, quand ma copine a la migraine.
Lire les commentaires textes
D'accord avec soiedouce...
La troisième biensur, mais d'autres sont superbes également...celle à pois mmmmmmmmm
hummm hummmmmmmmmmmmmmmmmmmmle numero 3 en satin rouge quelle folie !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!