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photos de mariage
la 4eme photo est une photo du Net
en bonus une nouvelle photo de Dentelh avec sa nouvelle tenue
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Suite du Récit lingerie de Kooelle...un bonheur !!!
Chapitre2 :
Dentelle et bitume
Sur la route Stéphane composa comme prévu le numéro de la messagerie de son téléphone portable.
« parking 42» dit simplement une voix
Il connaissait l’adresse de l’hôtel où il devait rejoindre sa maîtresse. Ou plutôt : Maîtresse Sophie ,car en aucun cas il pouvait penser qu’elle lui appartenait un tant soi peu. Au contraire, c’était plutôt lui qui lui appartenait. Et tout particulièrement dans les minutes qui allaient suivre. Il allait devenir son objet, son fétiche.
Son esprit se libérait. Une journée d’attente complète habillé sous son costume selon les exigences de sa maîtresse. Bas noirs à couture, guêpière noire transparente serrée très fort et string en dentelles. Il vérifia machinalement si comme elle lui avait demandé , son prépuce était bien décalotté. Toute la journée, son gland avait frotté sur la dentelle. Il le sentait irrité et même temps à fleur de peau. Son excitation avait été longue et lente toute la journée. Dès qu’il se mettait debout , il sentait ses jarretelles se tendre et remonter ses bas. Il était prêt , sa maîtresse l’avait parfaitement mis en condition. Prêt à être un petit esclave travesti obéissant.
L’hôtel était en vue. Il se gara à la place 42. Il savait qu’il devait maintenant attendre les instructions.
Son téléphone ne tarda pas à sonner .
La voix de sa maîtresse :
- Tu es prêt Stéphane ?»
- Oui, répondit Stéphane , la gorge déjà nouée
- Tu as fait tout ce que je t’ai demandé»
- Oui, je suis travesti sous mon costume et j’ai bien veillé à laisser décalotté mon gland»
- Très bien , il doit être bien rouge
- Tu as tes chaussures avec toi ?
- Oui elle sont dans mon sac sur le fauteuil passager.
Stéphane ouvrit son sac et regarda ses magnifiques escarpins noir vernis à talons aiguilles de 13 cm. Il adorait marcher avec des talons aiguilles. Souvent chez lui, il enfilait une petite jupe plissée écossaise, une paire de bas et faisait glissé ses pieds dans ses escarpins. Il se promenait ainsi dans son appartement toujours sans culotte. Le jeu consistait à avoir le plaisir d’être habillé très sexy mais de résister à la tentation en reculant au plus tard son érection.
Sa maîtresse reprit
Bien Stéphane, tu vas retirer tes chaussettes et remettre ensuite tes chaussures de ville.
Stéphane s’exécuta. Il reprit son téléphone en disant «C’est fait .
Mais il n’y avait personne au bout du fil. Elle avait raccroché.
Stéphane attendit sagement. Il regardait ses chevilles qui désormais étaient découvertes. Il avait hâte d’être en bas noirs juchés sur ses escarpins .
Le téléphone sonna :
-Stéphane, tu va venir me rejoindre. Tu va aller à la chambre 42. Et une fois devant la porte, tu attend mes instructions. C’est bien compris.
Stéphane s’apprêtait à raccrocher. Il entendit la voix de sa maîtresse.
- Au fait, n’as-tu pas l’impression d’avoir oublié quelque chose depuis le début»
- Non , je ne crois pas»
- Ne dois tu pas à chaque fois que tu t’adresse à moi finir ta phrase d’une certaine façon»
Première erreur, sans le vouloir, il avait déjà commis un impair grave. Un manque de respect que doit un soumis à sa maîtresse et qu’il allait payer . Il le savait.
- Pardonnez moi maîtresse, je viens de comprendre mon erreur.»
- L’erreur est faite Stéphane maintenant. Je pensais te punir dans la chambre d’hôtel pour d’autres fautes mais il faut payer celles qui ont été commises et surtout là où elles ont été commises.
- Donc ici dans ta voiture»
Stéphane commençait à trembler. Jusqu’où était-elle prête à aller dans un lieu public.
- Tu vas défaire 3 boutons de chemise»
. Stéphane réalisait qu’avec 3 boutons dégrafés, sa guêpière devenait visible aux clients de l’hôtel qu’il pouvait croiser  entre sa voiture et la chambre .
_ mais ,dit-il simplement
- Tu contestes , bien, cela fera 4 boutons plus un supplémentaire pour avoir encore oublié de dire à Maîtresse .
A cinq boutons , sa chemise était vraiment ouverte. Il préféra faire profil bas.
Bien, Maîtresse je suis à vos ordres»
Stéphane dégrafa sa chemise jusqu’au 5e¨me bouton, soit pratiquement jusqu’au nombril. Dans sa punition , il avait néanmoins le plaisir de redécouvrir sa guêpière qu’il n’avait pas vu depuis le matin. Il tenta tant bien que mal d’arranger sa chemise afin de dissimuler au mieux sa lingerie noire.
Il se lança, ouvrit la porte de sa voiture. Le seul fait de poser son pied sur le bitume du parking avant de sortir totalement de sa voiture avait pour conséquence de relever son pantalon et donc de découvrir ses chevilles gainées de noir. Une mini exhibition par rapport à ce qu’il allait se passer par la suite . Mais çà, il ne le savait pas encore. Il se mit en marche. A quelques pas de lui se trouvait l’escalier extérieur qui menait aux chambres. C’était un hôtel à l’américaine avec des coursives qui menait aux chambres directement.
Au beau milieu de son trajet, il croisa une cliente qui se dirigeait vers sa voiture. Machinalement il porta la main au col de sa veste afin de la fermer. Il se ravisa car sa maîtresse devait l’observer. L’obéissance se devait d’être totale. La cliente le croisa et son regard fut bien évidemment attiré par le geste de l’homme qu’elle allait croiser. Il ne fait portant pas froid - se dit-elle. Pourquoi ce geste ?
L’homme avait relâché sa main au moment où ils se croisèrent. Elle crut voir du noir au départ au niveau de sa chemise et en se rapprochant elle identifia très clairement le décolleté d’un bustier en dentelles noires. Elle passa plus surprise que gênée.
Son imagination était déjà en marche . Que faisait cet homme avec sa chemise déboutonnée portant à un bustier en dentelle. Dans un hôtel cela ne pouvait conduire qu’à un rendez-vous coquin. Elle senti un pincement au bas du ventre. Elle venait elle même de quitter à l’instant son amant, et était encore très excitée de son rendez-vous.
En se rhabillant tout à l’heure, son amant avait caressé une fois encore ses jambes gainées de bas. Il avait glissé sa main sous sa jupe puis fait descendre sa petite culotte au bas de ses chevilles. Il voulait qu’elle continue à penser à eux en marchant comme cela en jupe, en bas et porte jarretelles mais le sexe à l’air. La femme était donc encore dans un état qui lui permettait de divaguer dans ses fantasmes. Elle ne savait ce qu’elle allait faire . Mais elle avait décider une chose: rester sur ce parking d’hôtel et attendre que le démon du sexe veuille bien lui présenter quelque-chose.
Ce jeune homme avec sa dentelle ferait bien l’affaire. On ne peut pas aimer la lingerie au point de la porter et ne pas aimer les femmes. Elle commença en entrant dans sa voiture à imaginer ce que le jeune homme pouvait porter sous son costume. En s’asseyant sa jupe se releva légèrement. Et pourquoi pas se dit-elle ?
Dans son sac à main elle avait l’objet qui lui permettrai d’attendre. Elle sorti un joli sex-toy qu’elle caressa de ses longs doigts vernis de rouge à ongles Dior. Elle le lâcha pour l’humidifier .D’un petit mouvement à du bassin , elle dirigea son godemiché vers les lèvres de son sexe encore tout humide. Il pénétra sans difficulté. Elle ne put retenir un râle de plaisir . Elle commença un mouvement d’avant en arrière. Décidément ce jour était un jour de plaisir.
Stéphane avait le coeur qui battait de plus en plus fort. Je suis complètement dingue se dit -il . Mais je n’ai pas le choix je suis trop dépendant de ce genre de situation. Et cette femme qu’a-t-elle pu voir et penser ? Elle était jolie d’ailleurs et très féminine. Stéphane entamait la montée des escaliers. La chambre 42 était au premier étage. En arrivant devant la porte , il tourna les yeux en contrebas vers le parking et vis la femme qu’il venait de croiser dans sa voiture en train de lâcher ce qui ressemblait à un sex toy d’une taille très respectable. En portant l’objet vers sa bouche, la femme leva les yeux et croisa le regard de Stéphane. Au lieu de s’arrêter, elle continua à le regarder droit dans les yeux.
Stéphane vis disparaître le godemiché vers le bas. La femme le regardait toujours. Il était médusé. Elle fit quelques mouvements rapides et précis pour tenir en équilibre au dessus de son fauteuil , le temps d’introduire l’objet.
Elle relâcha son mouvement et s’enfonça sur le godemiché . Il l’a vit basculer sa tête en arrière. A travers le pare-brise il n’entendit pas le râle, mais il le devina dans les expressions du visage de la femme. La femme se remis en place. Elle continuait à le regarder. Elle se lécha doucement les lèvres, tendit son majeur un instant en l’air et l’enfonça goulûment dans sa bouche. Ce spectacle était pour lui. Stéphane ne savait comment la remercier. Il ouvrit grand sa chemise pour lui laisser découvrir sa guêpière.
Il tourna les talons pour se figer devant la porte de la chambre 42. Son téléphone sonna.
- Tu en as mis du temps. Je t’ai vu . Il va falloir que tu m’expliques. Je n’ai pas l’habitude de partager mes instants de plaisir.
- pardonnez moi , maîtresse, je suis tout prêt à vous donner les explications que vous jugerez utiles»
- Nous verrons cela tout à l’heure. Pour l’instant Stéphane il faut que tu gagnes le droit d’entrer dans cette chambre. Car pour l’instant je ne suis pas très satisfaite. Voilà ce que tu vas faire»
Stéphane attendait dans cette drôle de situation, le nez collé à une porte, son portable à l’oreille.
- Bien , repris Maîtresse Sophie , Tu vas ouvrir ta braguette et sortir ton sexe. Si tu bandes déjà , tant pis pour toi , tu seras plus exposé aux regards»
Stéphane commençait à transpirer. Il s’exécuta
- c’est fait maîtresse»
- Maintenant , tu vas me détailler la façon dont tu es habillé sous ton costume»
Stéphane voulait en finir avec cette situation. Il débita sans conviction les vêtements féminins qu’il portait.
- Ce n’est guère convaincant . Allez recommence et surtout parle plus fort je ne t’entends pas bien .
- mais Maîtresse , Objecta Stéphane.
-Tu recommences à contester , retourne à ta voiture immédiatement. Et tu peux ranger ta bite. Je veux un esclave docile , c’est bien compris
Stéphane reparti dépité. Il retourna à sa voiture. La femme était là et le regardait. Les épaules voûtées il ne pensa même pas à lui faire un geste. Dans sa voiture il attendit. Pourquoi n’avait-il pas obéi. Sa maîtresse était là pour l’aider à franchir les étapes de la servilité sexuelle. Il senti son sexe se remettre en érection. Sans réfléchir, il le sorti de son petit string en dentelles noires et pour la première fois de la journée s’autorisa à se caresser. Le téléphone se mis à sonner
« Oui , Maîtresse Sophie»
« Oh , Stéphane tu prends des risques. J’aime çà . Comment pouvais-tu savoir que c’était moi»
« c’est vrai Maîtresse , mais j‘espérai tellement que vous m’appeliez»
- Je vois que tu es en de meilleurs dispositions. Je vais te laisser une chance.
- Merci Maîtresse Sophie , je suis à vos ordres . Je vais les exécuter sans discuter maintenant»
- Alors tu vas tout de même avoir une petite punition . Enlève ta veste et ta chemise.
Stéphane ne voulait plus réfléchir. Il se retrouva dans sa voiture en guêpière noire. Quoi de plus normal en effet !
- Tu peux remettre ta veste»
Stéphane se senti soulagé. Alors même que quelques minutes plus tôt, il tremblait à l’idée de déboutonner sa chemise.
- maintenant , tu ouvres ta braguette et tu t’arrêtes là . je t’attends»
Stéphane sorti de sa voiture. En rejoignant l’escalier , il passa devant la voiture de la femme du parking. La vitre avant était baissée.
- Je veux participer à ton jeu , dit-elle haletante. Et en même temps, elle vit sa guêpière et entre aperçu le triangle de dentelle du string qui apparaissait à travers la braguette grande ouverte.
Elle avança la main gauche et plongea ses longs doigts vers le string. Elle passa ses ongles sur la dentelle du string.
- Très mignon , tout cela .
Le sexe de Stéphane était totalement décalotté. Depuis des heures, son gland frottait contre cette dentelle. Le contact des ongles lui fit l’effet d’une véritable décharge. Mais il ne broncha pas. La situation était trop érotique. De longs ongles vernis étaient en train de griffer son sexe sous la dentelle. Son sexe se mis érection au point de sortir du minuscule triangle de dentelle. Elle lui saisi alors le sexe et le serra.
Stéphane n’essaya même pas de se dégager.
- ce n’est pas possible, je n’ai pas l’autorisation de Maîtresse Sophie»
La femme compris tout de suite la situation, réfléchi en un éclair et composa un numéro depuis le téléphone fixe de sa voiture. Au même moment son propre portable sonna dans son sac à main. Elle  glissa le portable dans la poche du haut de la veste de Stéphane. Elle le tourna à l’envers afin que le micro soit bien en place pour entendre les sons extérieurs
- Prends mon portable, laisses le brancher afin que j’entende tous de vos ébats . Gardes le, ensuite je t’appellerai, car je n’ai pas l’intention de lâcher une petite salope de ton genre»
Ses mots étaient cru , mais elle était suffisamment élégante pour qu’il ne soient pas vulgaires.
- Vas-y , dit-elle , elle t’attend et tu vas te faire gronder. J’espère bien d’ailleurs , et ce faisant, elle lui pris dans sa paume ses couilles et les serra doucement en disant , Après ça sera mon tour.
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Trsè belles culottes qui te vont très bien, le mariage des tissus est superbe et va réellement bien sur un homme j'en démords pas...
oui vraiment belle ;-)
tres excitante hummmmm