soienoire
Réunion de "travail".....................
Un récit délicieux, envoyé et écrit par Kooelle, qui ne manquera pas de vous exciter j'en suis la preuve tres vivante et tres humide..
bonne lecture!
bonne lecture!
Réunion haute couture
Stéphane venait de quitter sa réunion sous l'oeil un peu surpris de ses collègues.
Un vague salut précipité au lieu de la chaleureuse poignée de main dont il avait l'habitude. D'ailleurs toute la journée, pour un observateur attentif, son comportement avait été quelque peu curieux ou tout au moins différent.
Lui Stéphane savait pourquoi. Cette journée avait été un enfer. Mais un enfer délicieux car c'est lui qui avait choisi la règle du jeu.
Une journe entière a attendre le rendez-vous vers lequel en ce moment même il courait.
Il avait passé sa journée à caresser le haut de ses cuisses pour sentir la divine sensation qui courait sur sa peau. Il n'avait pas cesser non plus de vérifier si ses chausettes étaient suffisament relevées et ne laissaient pas apparaître ses mollets gainés de noir.
Car depuis ce matin dès le lever il s'était préparé comme on lui avait demandé. Le petit string noir en dentelle lui avait dès le début posé un problème. Comment faire tenir dans ce ravissant minuscule triangle de dentelle noire un sexe en pleine érection. Toute la journée il avait du faire des allers et venues de la salle de réunion aux toilettes. On lui avait en effet imposé en plus de laisser décaloté son pénis afin qu'il sente constamment la dentelle de son string s'imprimer sur son gland.
Le seul problème, c'est que dès qu'il s'absentait pour executer cette consigne son sexe se mettait en érection. Et il revenait ainsi dans en salle de réunion, sa braguette de pantalon gonflée par l'excitation.
Une fois assis, il pouvait à loisir laisser son imagination vaquer vers ses fantasmes. La situation était terriblement existante. En bougeant ses jambes il sentait le tissu de son pantalon frotter sur ses bas noirs. La sensation était délicieuse. Et en général, il accompagnait son mouvement en posant sa main sur le haut de sa cuisse pour sentir le haut des bas et surtout l'attache des jarretelles qui les tenaient. Un petit coup d'oeil lui permettait de constater qu'il était le seul à pouvoir savoir que le léger renflement sur son pantalon de costume était en fait cette fameuse attache qui le faisait basculer dans le monde du féminin.
Comment ses collègues pouvaient-ils soupçonner que sous son costume il portait tout ce qu'un homme pouvait espérer découvrir en déshabillant une femme hyper féminine. Bas noirs couture, string en dentelles transparentes, et guépière noireà fines bretelles.
Cette fameuse guépière, il avait éviter le pire après le déjeuner. Tout le monde était détendu en revenant en salle de réunion, et d'un mouvement général chacun avait enlever sa veste. Stéphane grisé par le vin avait lui aussi retirer sa veste. Mais dans son mouvement pour la poser sur la chaise, il avait soudain senti la bretelle de sa guépière s'enfoncer dans la chair de son épaule. Une guépière noire sous un tissu de chemise blanche, de surcroit tendu par le mouvement de rotation de son buste pouvait tout à fait se révéler en transparence. Effrayé, il avait fait le mouvement inverse et remis immédiatement sa veste. Ses collègues s'étaient moqués de lui.
Il avait bredouillé une vague explication. à son attitude par une pirouette verbale. Une fois le calme revenu, en balayant la salle du regard, il avait croisé le regard de la seule femme de l'assemblée qui, lui semblait-il, l'avait regardé avec un petit sourire en coin. Avait-elle vu quelquechose, se posait-elle des questions. Il n'osait plus tourner la tête vers elle mais il sentait son regard. Il tentait désespérement de ne pas de faire de geste révélateur. Dans son brusque mouvement, la guépière s'était en effet légerement décalée et les baleines du soutien georges étaient désormais mal placées. Il avait tellement serré le matin les attaches du dos de la guépière, comme on le lui avait aussi demandé d'ailleurs, qu'il ne pouvait espérer qu'elle se remette en place d'elle-meme.
Il resta donc ainsi jusqu â sa prochaine pause toilette où il devait se rendre pour à nouveau décaloter son pénis. La situation était tendue mais en méme temps il s'apercevait qu'il jouissait véritablement de la situation. Il était soumis à ses fantasmes et c'est cela qu'il voulait. Vivre des situations paradoxales dans une apparence de normalité
En revenant des toilettes, il s'aperçut que le groupe était en pause café. Il se concentra pour ne pas penser à son sexe et plus particulièrement à son gland gonflé d'exitation qui frottait contre la dentelle de son string. Il tenta donc de s'isoler légérement du groupe. La femme s'approcha doucement de lui. Il sourit cachant difficilement sa gène. Tout en buvant de petites gorgées de café elle lui parlait d'une façon qui se voulait anodine :
Quelle chaleur, je vous admire de pouvoir garder votre veste. dit-elle
Ce n'est pas un exploit, et puis, je marque ainsi ma différence , n'est ce pas?
Elle le regarda sans parler . Avait elle compris cette allusion?
Vous savez, nous les femmes, nous ne savons jamais comment nous habiller non plus le matin en partant au travail. Pantalon ou jupe? Bas ou pas de bas ? Si vous saviez ce que des bas peuvent tenir chaud. La température monte et cela peut devenir suffoquant. Enfin vous au moins vous n'avez pas ce type de problême.
La conversation était lancée et sur un territoire peu professionnel. Le jeu plaisait à Stéphane même s'il ne maitrisait pas son issue .
Il répondit
Mais vous contrairement aux hommes ( il n'avait pas dit volontairement contrairement à moi en jupe vous avez plus de , comment dire , de ventilation possible
Le mot l'a fit rire, elle reprit :
C'est vrai, mais imaginez au temps des rois ,les femmes étaient enchassées dans des corsets étouffants, robes ou pas robes, elles devaient subir la chaleur sans rien pouvoir faire. Là encore, vous n'avez pas ce type de problême n'est ce pas
L'allusion était trop forte pour qu'il ne s'en saisisse pas
Oui c'est vrai , sauf peut-être pour les hommes qui sont contraints de porter de corsets
Elle profita immédiatement de l'occasion que Stéphane venait de lui donner :
Oui , j'ai cru voir tout à l'heure quand vous avez retirer votre veste que vous aviez une sorte de corset, des problêmes de dos peut-etre.
Elle avait donc vu , il ne s'était pas trompé. Et l'allusion une une sorte de corset était à peine dissimulée. Que pensait-elle réellement ? Etait-elle candide ou vraiment malicieuse?
Pour etre précis, dit-il , c'est par obligation
cette réponse allait-elle le mener ensuite
La fin de la pause le sauva inextrémis et lui évita de répondre plus en avant.
En marchant vers la salle de réunion, elle lui glissa sa carte de visite , et lui chuchoté :
Pour votre corset, je connais bien la question . Si vous le voulez, je pourrai vous conseiller. Il en existe même des très sexy. Mais ètes- vous un homme ( et elle s'arreta quelques secondes sur ces derniers mots) être attentif à cela.
Soyez en assuré, je trouve que les femmes ont beaucoup de chance de pouvoir se métamorphoser au gré de leur envie en femme sage ou femme objet
Je vois que nous avons des points communs
Ils allaient se séparer pour rejoindre chacun leur place , lorsqu'elle lacha au dernier moment :
Mais vous savez en jupe pour avoir moins chaud,vous pouvez aussi porter des bas. Si vous ètes attentif vous pourrez facilement repérer qui en porte aujourd'hui meme.
" Sachez ,Stéphane, que les bas couleur chair sont moins visibles que les bas noirs."
Stéphane l'a regarda médusé
Elle finit :
"Enfin je n'ai jamais été jusqu'à tester la différence entre des bas simples ou des bas coutures
Stéphane était dérouté et en meme temps il était aux anges.
La réunion repris. Il pouvait désormais librement la regarder . Il croisa son regard. Elle le regarda fixement dans les yeux et les baissa comme un signe de regarder vers le bas.
Effectivement , elle avait légèrement avancé son bassin vers le bout de sa chaise. Elle avait de magnifiques jambes gainées de marron foncé. Il adorait cette couleur. Il l'a regarda à nouveau dans les yeux . Elle lui fit le meme signe des yeux . Il baissa le regard. Elle avait écarté ses jambes et relevait discrètement sa jupe jusqu'à enfin laisser apparaitre le haut de ses bas
Quel délice!!.
En signe de remerciement, il croisa ses jambes et remonta légèrement le bas de son pantanlon pour révéler la présence de ses bas noirs. Elle lui sourit.
Et en un éclair, il leva le doigt pour poser une question à l'animateur de la réunion , que seule elle et lui pouvait décoder.
Stéphane
Mais lorsque qu'un client a de telles exigences, cela revient à faire de la haute couture. C'est étouffant
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Ce récit est très excitant et les photos encore plus. J'aime beaucoup la dernière. Bravo et merci pour ces bons moments.
Très belle histoire;
On aimerait tous que ça nous arrive... Enfin ceux qui surfent sur ce site ou d'autres....
J'attend avec impatience d'autres histoires du même ordre/
félicitations/
Collantissimement votre