kasumi...hummm delicieuse non?

Cam to Cam tres chaud...Kasumi et moi , nous nous sommes regalés hier soir.... profitez en ...

merci à cameraman de revebebe.free.fr  pour ce recit tres excitant

Je ne pus revoir Danielle le lendemain soir, une répétition imprévue de l'émission pour laquelle j'étais venu dans cette ville des bords de Loire m'en empêcha ; cependant, elle m'avait confié son numéro de téléphone et vers 23 heures 30, rentré à ma chambre d'hôtel, je l'appelai.

Elle était très contente de m'entendre et peu à peu la conversation glissa vers l'évocation de nos tendres moments de la veille.

Elle m'avoua qu'elle n'avait pas joui comme cela depuis longtemps et me dit tout de go qu'elle était prête à recommencer ; mais que ce soir, il était un peu tard et, étant un peu fatiguée, elle n'avait pas le courage de ressortir sa voiture.

Je lui proposai de venir en taxi, mais elle m'assura qu'à cette heure je n'en trouverais pas et encore moins pour revenir.

Un peu déçu, je commençai à la taquiner et je lui demandai comment elle était vêtue :

- Oh, je porte ce que tu aimes bien ; je savais que tu allais appeler et j'ai gardé mes bas et mon porte-jarretelles ; ils sont gris fumés et le porte-jarretelles est noir en dentelle.

- Tu ne portes rien d'autre ?

- Si, bien sûr ; j'ai encore mon soutien-gorge mais je n'ai plus ma petite culotte.

- Comment était-elle ?

- Tu es un petit coquin trop curieux, toi ; tu veux tout savoir.

- Oui et je veux même savoir où tu es et comment tu es installée.

- Je ne t'ai pas tout dit : je porte aussi un déshabillé en voile noir tout transparent ; je pensais que ça te plairait ; j'ai aussi de petites mules noires à talons hauts avec un petit plumet sur le dessus.

- Tu dois être très désirable comme ça ; tu me donnes envie...

- Mais c'est fait pour ça.

- J'aimerais tant être là, à tes genoux ; imagine ce que je pourrais te faire ...

- Oh mais j'imagine très bien, d'ailleurs mes cuisses s'ouvrent déjà pour t'accueillir.

Elle commençait à sérieusement m'exciter et je sentais mon sexe devenir de plus en plus à l'étroit dans mon jean.

- Tu sais que tu me mets dans tous mes états, je n'en peux plus, je bande comme un taureau.

- Sors ta queue.

C'était dit comme ça, à brûle-pourpoint, par une dame que je ne connaissais que depuis 24 heures, avec qui j'avais eu des relations intimes, bien sûr, mais qui se révélait plus coquine que je ne pensais.

J'obéis et je commençai à me branler doucement.

- Qu'es tu en train de faire là ?

- Et bien là, tu vois, je suis assise dans un fauteuil, j'ai les cuisses posées sur les accoudoirs, et je fais des petits ronds avec mon doigt sur mon clitoris...

J'imaginais très bien la scène et je me voyais à genoux devant cette femme offerte, prêt à lui donner des caresses avec ma langue.

- Sais-tu ce que je voudrais que tu fasses ?

Un silence... elle savait sans doute très bien ce que j'attendais d'elle, mais me faire languir un peu faisait partie de son jeu.

- Te sucer la queue ? En général, les hommes adorent ça, se faire sucer la queue, non ? Tu n'aimes pas, toi ?

Je me voyais déjà debout devant elle, avec mon sexe dressé, tendu vers sa bouche et ses lèvres rouge sang qui se refermaient dessus... En y pensant, je me branlai de plus belle.

- Non, tu vas trop vite, tu vas me faire gicler et puis ça sera fini, c'est trop rapide ; non, ce que j'imagine, c'est que je suis allongé par terre, le sexe bien raide, et que je me caresse doucement. Toi, tu es debout juste au-dessus de moi, bien calée sur tes petites mules à talons et tu te caresses les tétons et la chatte. Tu vois ?

- Oh oui, je vois très bien, tellement bien que ça me donne envie de me mettre un doigt, là voilà, il entre tout seul, tu sais, ça glisse comme dans du beurre...

- Bien, très bien, alors tu te caresses un moment comme ça et moi je te vois par en dessous, je vois tes jambes fuselées gainées de tes bas gris, je vois ta petite chatte toute luisante de mouille avec tes doigts qui entrent et sortent, et puis au-dessus, là-haut je vois tes tétons dardés que tu agaces avec tes doigts... et cette vision-là m'excite tellement.

- Oui et qu'est ce que ça te donne envie de faire ?

- Et bien c'est très simple : tu ne bouges pas tes jolies petites mules à talons qui me font bander, et tout doucement tu descends sur tes jambes et tu viens t'accroupir juste au-dessus de ma bouche ; moi je vois ta chatte qui s'approche lentement de mes lèvres jusqu'à se poser dessus... et je te donne un tendre baiser du bout de mes lèvres sur tes lèvres intimes... et puis je sors ma langue et je la glisse dans ta fente déjà toute mouillée de tes caresses. Tu sens ce petit sexe agile qui s'immisce dans ton intimité et tout ton être se tend vers ma bouche qui te lape avidement.

Je l'entendais au bout du fil qui commençait à pousser de petits gémissements, signe que mon récit touchait juste ou peut-être plus simplement, que ses caresses se faisaient de plus en plus précises ?

- Oh oui, j'adore ça, continue, mon chéri, bouffe bien ma chatte de petite salope.

- Je lèche doucement tes grandes lèvres et mes doigts les écartent pour faire sortir ton petit bouton d'amour.

- Ouiii ; il est tout dur, tout gonflé, je le sens sous mes doigts... oh si tu pouvais me voir, je suis complètement indécente, je me doigte comme jamais...

Je l'imaginais très bien, les cuisses écartées posées sur les accoudoirs, les jarretelles tendues à l'extrême sur ses bas gris avec ses petites mules délicates pendues au bout de ses pieds, sa chatte luisante de mouille qui dégoulinait sur le fauteuil, offerte.

- Là, voilà, je l'ai trouvé, je le sens au bout de ma langue ton petit clito tout gonflé ; je pose mes lèvres autour et je le tète, comme je tèterais la pointe de tes seins ; je l'aspire et en même temps je te glisse un doigt dans la chatte, oh, c'est trempé là dedans, et ça dégouline.

- Oh, c'est bon, oui aspire-moi, lèche-moi partout ; oh je frotte ma chatte contre ta bouche, je m'assieds sur ton visage et je me frotte.

- Oui, viens, je sens ton bassin qui commence un lent va-et-vient d'avant en arrière et je sors ma langue qui passe dans ta fente et je sens ta mouille qui me coule dans la bouche ; oh tu prends ma tête entre tes mains et tu la presse contre ta chatte et tu accélère le rythme...

- Oooh, tu me rends folle, je me suis mis trois doigts et je tourne sur le clito avec mon pouce, c'est trop bon, oui, je sens que je vais partiiiiir !

- Viens, maintenant tu n'as qu'à te relever un peu, tu recules légèrement sur tes talons et tu viens t'empaler sur mon sexe qui t'attend.

- Oui ta queue, je veux ta queue, elle est trop bonne, oh je la sens qui s'enfonce en moi, elle me remplit, oh jusqu'au fond ; oui, elle butte contre ma matrice, je la sens...

Je la voyais comme si j'y étais, ses seins lourds aux pointes dardées, sortis du soutien-gorge, ballottant au rythme des mouvements de son bassin qui faisait entrer et sortir ma queue de sa chatte dégoulinante de mouille ; ses cuisses ouvertes parées de ses fins bas gris dont une des jarretelles s'était défaite dans l'action. Elle était bien calée sur les talons hauts de ses mules et, s'appuyant des deux mains sur mon torse, elle fermait les yeux en propulsant mon sexe au fond de son vagin à chacun de ses allers et retours de plus en plus rapides.

Je me branlais de plus en plus vite et je l'entendais qui faisait de même :

Nous étions tous les deux partis dans un délire érotique au téléphone et quand je ne l'entendis plus parler mais simplement haleter et gémir, je sus que son plaisir était proche et je me laissai aller en un long jet de sperme... dans un mouchoir en papier.

Elle jouit longuement, puis elle m'embrassa et nous nous souhaitâmes une bonne nuit, en nous promettant de nous revoir le plus vite possible.

Mesdames, vous ètes magnifiques.......

Jolie culotte verte avec Bas noirs...hummm on aime beaucoup !!!