soienoire
un récit chaud
Depuis toujours je suis passionné par les bas, les porte-jarretelles, les guêpières et les talons hauts ; mais je ne suis pas un travesti, j'aime tout simplement voir des femmes qui en portent et, si possible, passer un moment agréable avec elles...
Mais voilà, la plupart des femmes de nos jours portent plutôt des collants ou des bas auto-fixants, jolis, bien sûr, mais nettement moins érotiques à mes yeux.
Depuis longtemps je suis attentif dans la rue aux jambes des femmes, je les observe, je me livre à un petit jeu : j'essaie de deviner si elles portent des bas ou des collants.
Et parfois, le petit jeu offre une récompense...
J'étais en reportage dans une ville des bords de Loire pour trois jours, un peu désoeuvré en attendant la soirée pour filmer une émission de divertissement. Je me baladais donc dans les rues de cette cossue petite ville de province en me livrant à mon petit jeu favori.
Je déambulais donc dans la rue principale, simple promeneur innocent, sauf que j'avais envie de lécher bien plus que les vitrines...
Jusqu'au milieu de l'après-midi, je commençais à désespérer. Rien de bien intéressant ne passait sous mes yeux : quelques femmes assez jeunes aux jupes très courtes tentant maladroitement de rester perchées sur des talons vertigineux, une infirmière en blouse blanche dont la silhouette se découpait en contre-jour ; et quelques bourgeoises pincées qui passaient, droites comme un I, sans m'accorder un seul regard (et en donnant l'impression que quelque chose de très important était écrit sur le bout de leurs chaussures à talons plats)...
Toutes ces jambes étaient gainées à n'en pas douter soit de collants d'épaisseur rédhibitoire, soit peut-être de « dim-up », mais aucune n'avait les indices révélateurs d'une vraie paire de bas avec les petits élastiques bien tendus sur la cuisse.
Ce jour-là, après une longue attente, je vis arriver les fameux plis sur les deux belles jambes d'une femme d'un certain âge, pour ne pas dire d'un âge certain. Elle devait avoir aux environs de la cinquantaine, sinon plus, mais sa distinction, ses vêtements et son allure n'avaient rien à envier à bien des femmes plus jeunes.
Elle portait un tailleur gris, bien coupé, et plutôt ajusté, ce qui laissait deviner une silhouette fine et élancée. Sa jupe, assez serrée et même « entravée », la forçait à avancer à petits pas rapides, faisant claquer sur le trottoir ses escarpins noirs à talons très hauts. C'était le printemps et elle ne portait sous son tailleur qu'un chemisier blanc assez transparent qui laissait deviner un charmant soutien-gorge en dentelle.
Pour moi, c'était la cible idéale, même si elle ne m'accorda pas un regard de ses yeux verts de rousse. Cheveux mi-longs légèrement frisottés, elle tenait un petit sac à main noir qui se balançait au rythme de ses pas.
Je scotchai mon regard à ses jambes couvertes d'une fine matière noire très transparente, remontant des chevilles aux genoux et le doute n'était plus possible : elle portait des bas.
Je l'observai tranquillement de loin, marchant au rythme d'un promeneur et je la vis soudain entrer dans ce qui semblait être un cabinet d'assurances. Je m'appuyai contre un banc juste en face et j'attendis. Un quart d'heure plus tard, elle ressortit et repartit d'où elle était venue. Je traversai la rue et commençai à la suivre, me rapprochant rapidement, les yeux rivés sur ses jambes. Dans ce cas, il ne faut pas tarder à passer à l'action, au risque de se faire passer pour un « suiveur » pervers et de faire peur à la dame.
J'arrivai donc rapidement à sa hauteur et je l'abordai.
- Pardon madame, puis-je vous dire un mot, s'il vous plaît ? tout en affichant un large sourire.
Elle me toisa un instant.
- Oui, je vous en prie.
- Eh bien, je voulais vous dire que vous avez illuminé ma journée et que vous êtes la plus belle femme que j'ai rencontrée dans cette ville.
- Oh, je vous remercie, monsieur, mais vous êtes un flatteur !
C'est vrai qu'elle n'était pas des plus jolies et qu'elle le savait sans doute. Les femmes savent ces choses-là. Mais elle était très distinguée et ça, pour moi, ça comptait beaucoup. Et puis, malgré tout, cela avait dû la toucher, tout de même.
- Permettez-moi de vous offrir quelque chose à boire, si ce n'est pas abuser de votre temps ?
- Mais, monsieur, je suis une femme respectable et je ne vais pas boire un verre avec n'importe qui.
- Ecoutez, jusqu'à ce moment, ma journée était comme toutes les autres et je vous ai vue. J'ai tout simplement envie de prolonger un peu ce moment de bonheur et peut-être de vous le faire partager ? C'est tout simple. Mais vous avez sans doute des tas de choses à faire ?
- Non, non, il se trouve justement que j'avais un petit moment à tuer, j'accepte.
Nous nous dirigeâmes vers le café le plus proche et là je lui racontai ce que je faisais ici ; elle me dit que son mari était garagiste à l'entrée de la ville et finit par m'avouer qu'elle s'ennuyait un peu. Depuis qu'il avait été cambriolé, son mari avait décidé de passer toutes ses nuits dans son garage et elle dormait donc le plus souvent seule.
Je la dévorai des yeux et elle en fut presque gênée.
- je me regardez pas comme ça, je suis timide !
Là, je lui racontai ma passion pour les femmes distinguées, puis je glissai sur la qualité de ses vêtements et je lui avouai franchement le petit jeu auquel je me livrais et ma passion pour les frous-frous, et les bas.
Je me hasardai :
- Alors, est ce que j'ai gagné ?
Elle commençait à se prendre au jeu et se permit même de me taquiner.
-Vous voulez vérifier ?
Puis, se reprenant tout de suite.
- Mais qu'est ce que je raconte, moi, je suis folle ?
Elle croisait et décroisait les jambes de temps à autre et j'entendais nettement le crissement caractéristique du nylon de ses bas. Je la regardai plus sereinement avec un petit sourire.
- Puis-je vous revoir ? Que faites-vous en fin d'après-midi ?
- Non, ça n'est pas possible. Et puis je suis mariée, on me connaît ici.
- Allons, il s'agit seulement de prolonger un peu ce moment de bonheur, dites oui !
Elle me regardait, les yeux pétillants et avec ce petit sourire au coin des lèvres que je commençais à adorer, elle me chuchota :
- Attendez-moi sur le quai de Loire, face à la poste, à 18h30, j'ai une voiture grise.
Puis brusquement, elle prit son sac sur la table, se leva et partit sans se retourner. Je restai un peu estomaqué, n'osant trop y croire, me demandant si je ne venais pas de sortir d'un rêve. Je me retournai, elle avait disparu. Je réglai les consommations et sortis dans la rue avec l'impression de marcher sur un nuage : elle avait dit oui.
Le reste de l'après-midi me parut interminable ; je passai à ma chambre d'hôtel au dernier moment pour prendre une douche et m'asperger d'eau de toilette, au cas où...
Avant l'heure dite, je m'installai tranquillement, assis sur un muret qui surplombait la Loire et je patientai. 18h30 passèrent, puis 18h45, elle ne viendrait pas. Je commençais à perdre espoir quand soudain un bref coup de klaxon me fit lever les yeux : elle était arrêtée en double file juste de l'autre côté de la rue et me faisait signe de venir rapidement.
- Montez vite, je dois passer à la poste avant la dernière levée.
Je m'assis à côté d'elle et elle démarra aussitôt ; elle s'était changée, exit le tailleur, elle portait maintenant un chemisier quasi transparent qui laissait voir la dentelle de son soutien-gorge très pigeonnant, poussant deux globes bien ronds sous les regards, dont le mien.
Elle avait enfilé un manteau assez long en une sorte de fourrure très fluide et légère, et surtout, elle avait troqué sa stricte jupe de tailleur contre une ample jupe très courte qui laissait voir une marque sombre sur ses jambes à mi-cuisses.
Elle ne fit pas 50 mètres qu'elle s'arrêta à la poste toute proche. Quand elle se tourna pour sortir de la voiture, je sus qu'elle ne portait pas de collants : les ciseaux de ses jambes s'ouvrirent en grand, me dévoilant de fines jarretelles roses et noires qui tendaient de très fins bas noirs sur ses cuisses. Cela fut très fugitif, mais j'enregistrai nettement l'image.
Elle trottina jusqu'à la boîte aux lettres, perchée sur de très hauts talons rouges ouverts derrière, puis, ayant glissé le courrier dans la boîte, elle fut à nouveau dans la voiture en un instant. J'eus droit au même spectacle qu'à l'aller et cette fois, après avoir tiré prestement sur sa jupe, elle se tourna vers moi en souriant.
- Alors, votre petit jeu ? Gagné ou perdu ?
- Vous êtes la plus forte, je rends les armes.
Elle démarra et tourna aussitôt à droite, sortant rapidement de la ville, en longeant la Loire. Très vite, les maisons s'espacèrent et nous roulâmes un moment le long du fleuve sans parler. J'appris plus tard que nous étions passés devant sa maison.
Au bout d'environ deux kilomètres, elle tourna dans un petit chemin, puis arrêta la voiture contre une haie. La nuit commençait à tomber, en pleine campagne, sans aucune maison ni route à la ronde. Un endroit très discret et très bien choisi.
Ce qui m'étonne le plus avec les femmes d'ailleurs, c'est que même avec toutes les agressions dont on entend parler ici et là, elles continuent à faire confiance à des quasi-inconnus, à aller avec eux dans un endroit isolé ou à les recevoir chez elles au premier rendez-vous ; toutes ces situations me sont arrivées et à chaque fois cela m'a étonné.
Elle coupa le moteur, et se tournant vers moi, elle dit :
- Bon, et maintenant, que sommes-nous supposés faire ?
Je passai mon bras derrière son cou et j'attirai sa bouche vers la mienne. Je posai mes lèvres sur les siennes et je glissai ma langue dans sa bouche en un baiser fougueux ; elle ouvrit ses lèvres et répondit très vite à mon baiser. Je fis durer le baiser, le temps pour moi de lui caresser les seins dont je sentis les pointes durcies à travers le soutien-gorge. Ma main ne s'arrêta pas là et je glissai rapidement vers ses cuisses ; je sentis à travers le tissu léger, le petit renflement au niveau des jarretelles et je posai ma main juste à la lisière de sa jupe, les doigts à l'intérieur de sa cuisse droite. Ce moment délicat est décisif, c'est là qu'on sent si une femme est prête à s'abandonner et la suite ne sera que littérature.
J'exerçai une légère pression de mes doigts et, mes lèvres toujours collées aux siennes, je sentis ses cuisses s'entrouvrir très doucement au début, puis très largement, faisant remonter sa jupe haut sur ses cuisses. En même temps elle avança ses fesses sur le siège de la voiture pour mieux s'offrir.
Ma main s'aventura plus haut, effleurant les jarretelles au passage, glissant sous le haut du bas pour caresser la chair si délicate de la cuisse à cet endroit.
Elle m'attrapa par le cou et enfouit son visage dans mes cheveux, me couvrant de baisers. Elle s'offrait complètement et j'avançai ma main jusqu'à son entrejambe, effleurant le tissu léger de sa culotte. Elle se cambra, poussant son bassin en avant, ma main se retrouva plaquée contre son pubis. Je sentais une douce moiteur contre mes doigts et je descendis doucement trois doigts sur sa chatte. Le fin tulle de la culotte retenait à peine son jus intime qui l'inondait.
J'exerçai une pression plus forte sur sa chatte et en soulevant ses reins, elle vint à ma rencontre. Nos bouches se retrouvèrent et au moment où ma langue se glissait à nouveau contre la sienne, je passai mon majeur sur le côté de son slip et je l'enfonçai d'un coup dans sa vulve. Il fut aspiré plutôt que je ne l'enfonçai et elle se tortilla aussitôt sur mon doigt, sa respiration s'accélérant, elle agita les reins, se collant à ma main. Je pivotai mon doigt de manière à frotter l'intérieur de la paroi avant de son pubis où, paraît-il se trouve le fameux point « G » ; en même temps, j'exerçai une pression et un frottement de la paume sur son mont de Vénus.
Elle ouvrit très largement les jambes, complètement impudique, je me reculai un peu pour profiter du spectacle, et je me mis à la doigter doucement d'abord en frottant bien la paroi, puis de plus en plus vite, la sentant haleter et se tordre sous ma caresse. Cela ne fut pas très long et un jet de liquide chaud et gluant inonda bientôt ma main, sa culotte et le siège de la voiture. À ce moment, elle m'agrippa furieusement et, cherchant ma bouche, elle me donna un baiser des plus sensuels.
Pendant ce temps, ses mains s'affairaient sur ma braguette, elle défit mon ceinturon et sortit mon sexe tout raide et gonflé de désir depuis un bon moment. Elle commença à me branler gentiment entre le pouce et l'index et prenant ma main avec sa main restée libre, elle me la posa sur la verge, m'incitant à me branler.
Elle se rajusta un peu, tira sur sa jupe et me repoussant doucement, elle me sourit et sortit de la voiture après en avoir allumé les phares.
Je bandais comme un fou et je la vis se planter dans le faisceau des phares et me regarder à travers le pare-brise. Elle ondulait légèrement, et tout en prenant sa jupe à deux mains, elle la releva et me dévoila toute son intimité, magnifique d'impudeur. Elle passa lascivement sa main sur sa culotte.
Je voyais nettement les jarretelles noires et roses qui tendaient haut sur ses cuisses des bas noirs très fins ; je pouvais voir les poils de sa chatte à travers le fin slip très échancré en tulle noir qui portait les traces de sa jouissance récente.
Je saisis mon sexe à pleines mains et je me branlai fort en la regardant. Elle entrouvrit son chemisier et fit jaillir ses seins lourds en poire de son soutien-gorge en tulle noir. Elle en agaça les pointes un moment, puis elle se dirigea vers mon côté de la voiture et ouvrit la portière.
Sans me laisser le temps de réfléchir, elle m'enjamba de face et vint se placer au-dessus de moi, malgré l'étroitesse de la voiture ; elle saisit prestement mon sexe tout raide et le guidant vers sa vulve, elle s'assit sur moi, propulsant ma queue jusqu'au fond de sa chatte.
- Ohhh, tu es gros, mmmhh c'est bon, oh oui !
Elle m'enlaça, reprit mes lèvres et commença un va-et-vient vertical, me pompant le sexe avec tout son sexe bien lubrifié. Je saisis ses fesses par-dessous pour l'aider dans son mouvement et à ce rythme, je sentis que je ne tiendrais pas très longtemps.
À chaque fois qu'elle redescendait, je sentais le bout de ma queue buter contre sa matrice, comme si une deuxième bouche m'aspirait. Elle accéléra la cadence et fit en même temps des mouvements du bassin vers l'avant pour frotter son clito plus fort encore. Je sentais mes couilles pleines sur le point de cracher leur jus et je me laissai aller : je giclai un grand jet de foutre juste au moment où elle s'empala à nouveau sur moi. Elle le sentit et se mit à trembler en accélérant encore ses mouvements. Je me laissai aller en arrière et je sentis qu'elle prenait à nouveau mes lèvres.
Nous restâmes un long moment soudés l'un à l'autre, puis elle se dégagea et nous mîmes un peu d'ordre dans notre tenue. Elle se rassit au volant et je voulus la voir encore. Je remontai sa jupe sur ses cuisses et je contemplai ses bas tendus par les jarretelles en dentelle rose et noire. Cela m'excita aussitôt et je sentis mon sexe reprendre de la vigueur.
Toutes ses barrières étaient tombées et je lui caressai doucement l'intérieur des cuisses qu'elle ouvrit en grand : elle me regarda en souriant, puis elle ferma les yeux. Je remontai ma main vers sa chatte et passant prestement par le côté, j'écartai l'élastique du fin rempart de tulle et je recommençai à la doigter. Cette fois je m'attardai plus sur son clito que je trouvai aussitôt. Il était déjà (ou encore) tout dur et gonflé, ses lèvres étaient indécentes de désir avoué, elles béaient largement et, toutes gonflées, elles luisaient du jus qui recommençait à couler de sa chatte. J'eus soudain une forte envie de la lécher et je le lui dis.
- Viens, passons derrière, me dit-elle.
Ce que nous fîmes. Elle s'allongea sur la banquette arrière, les jambes pendantes en- dehors de la voiture et je m'agenouillai devant elle. Je tirai sur l'élastique de sa culotte et la lui enlevai, un tout petit bout de tulle transparent, complètement trempé de sa mouille ; ayant fait voler ses escarpins, elle posa aussitôt ses pieds gainés de bas noirs sur mes épaules. Ce faisant, elle me découvrit le dessous de ses pieds et l'arrière des ses jambes : elle portait de vrais bas à coutures avec une diminution sur la cheville et le dessous du pied plus sombre et très dessiné. Ce sont ces bas qui m'excitent le plus : quand une femme en porte, la ligne de sa jambe est soulignée et le galbe s'en trouve magnifié. De plus, le fait que le pied soit nettement dessiné prouve, pour un œil averti, que la femme porte de vrais bas à coutures.
Je tournai la tête et j'embrassai voluptueusement ses pieds, puis les posant sur mes épaules, je plongeai vers sa chatte et ses liqueurs d'amour que je mourrais d'envie de déguster.
Je fus aussitôt accueilli par son odeur poivrée de rousse et j'écartai doucement ses lèvres de mes doigts : je plongeai ma langue dans sa fente, puis mon nez, me perdant dans cette débauche d'odeurs, de mouille et de glissements tendres.
Je fis aller et venir ma langue dans sa fente très lentement pendant un grand moment, puis je m'attardai sur son bouton d'amour et je le tétai goulûment. Elle gémissait de plaisir et se tordait sous les assauts répétés de ma bouche. Elle saisit ma tête et la pressa à deux mains contre sa chatte maintenant très largement ouverte et inondée de mouille. Je commençai un va-et-vient de plus en plus rapide de son clito à l'entrée de son vagin, glissant mes mains sur ses cuisses, les passant sous ses bas pour la maintenir vers moi. Elle gicla encore une fois un long jet de mouille dans ma bouche et s'effondra, terrassée par la jouissance. Je me reculai et saisissant ma verge tendue, je la guidai vers sa chatte béante, tout en lui relevant les cuisses très haut. J'allai au fond de sa chatte sans effort, elle s'abandonnait et excité comme je l'étais par le cunnilingus, je ne tardai pas à jouir à mon tour au fond de sa chatte.
Le temps passant trop vite, nous reprîmes une attitude décente et elle se réinstalla au volant.
- Ben dis donc, pour un amateur de bas, tu sais aussi te servir de ta langue !
Je souris et elle démarra. Puis, elle me raccompagna à mon hôtel, non sans m'avoir fixé rendez-vous pour le lendemain soir, où nous pourrions aller chez elle. Mais c'est une autre histoire.
Contributions Dentelle33
dentelle33 sperme dans sa culotte |
c'est toujours un bonheur pour moi de regarder ces belles images..
je ne peux m'empecher d'y ajouter des images prises quand nous étions ensemble...
qu'en pensez-vous?
BIENTOT 10 000 VISITEURS DEPUIS OCTOBRE MERCI A TOUS
CONTINUEZ DE M INNONDER DE VOS PHOTOS
Lire les commentaires textes
je veux te faire gicler dans ma bouche gros bisous sur ton superbe clito
superbe errection j'adorerai susser ce beau membre bise
Très sexy la photo 4
Ma photo préférée reste toujours celle au garde à vous
waouh quelle erection Celia !
j'aime beaucoup tes soutiens gorges aussi !!
Marc