soienoire
cam to cam avec Fred
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On s'est régalé ce jour là....
Désolé pour la qualité médiocres des photos, ce sont des captures d'écran.
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récit d'un fetichiste
En surfant parmi les blogs j'ai trouvé ce récit d'un homme vraiment très chanceux d'avoir une femme si compréhensive.
Merci à http://blog.voissa.com/1HommeEnBas/index.php
Ma femme avait prévu d’aller au ciné avec ses copines. En partant, elle me murmura un « à toute à l’heure » dégoulinant de sensualité. Pour me mettre en forme en attendant son retour qui augurait une bonne partie de plaisir, je décidais de prendre une douche. En sortant de la douche, direction notre chambre pour trouver quelques vêtements à passer. Quelle surprise, soudain de trouver sur mon oreiller, délicatement posé : une jupe noire et blanche, une paire de Dim-up noire et un string blanc ! Le message était clair.
Je mis cette tenue et j’ai attendu ma femme si excité que j’ai commencé la séance photo en solo. Quand elle rentra, j’étais jambes écartées sous le flash du retardateur.
Laissant tomber sac et manteau, elle se rua en caresses sur mon sexe qui dépassait du string. De manuelles, les caresses devinrent buccales. C’était très excitant de la voir la tête sous ma jupe, les fesses tendues vers le haut. Je saisi l’appareil et la mitraillai par miroir interposé…
Je mis cette tenue et j’ai attendu ma femme si excité que j’ai commencé la séance photo en solo. Quand elle rentra, j’étais jambes écartées sous le flash du retardateur.
Laissant tomber sac et manteau, elle se rua en caresses sur mon sexe qui dépassait du string. De manuelles, les caresses devinrent buccales. C’était très excitant de la voir la tête sous ma jupe, les fesses tendues vers le haut. Je saisi l’appareil et la mitraillai par miroir interposé…
Ma femme est plus grande que moi. C'est peut-être un détail pour vous, mais pour moi ça veut dire beaucoup (j'ai déjà entendu ça quelqe part....;). Hier soir en rentrant du boulot après moi, elle fait tomber sa jupe longue et se met à raler à propos de ses dessous qu'elle dit ne plus supporter. Comment? Et la voilà qui ôte ses bas noirs et son porte-jarretelle rouge et string assorti. Autant vous que je les avais repérés le matin même quand elle s'est habillée et je comptais bien en profiter le soir venu. - " Chérie, lui fis-je, je comprends pas qu'un truc si léger puisse être désagréable. - Essaye et tu verras !" Je me suis dit pourquoi pas et je me suis déshabillé, mis le PJ, les bas et un de ses strings. Sa mauvaise humeur a tout de suite disparu, quand elle est passé de la surprise au plaisir de me voir ainsi vétu. elle est allée chercher notre appareil numérique pour une séance sympa et finalement on n'en oublié de diner...
On a tellement aimé qu'on a recommencé à la première occasion. une semaine plus tard, en fait. Quand ma femme est rentré du boulot, j'étais déjà là, et en tenue.
N'ayant pas travaillé ce jour-là, j'avais passé la grosse partie de l'après-midi vétu d'un porte-jarretelle rouge, d'une paire de bas noirs, d'un string rouge, d'une jupe rouge, facile à retrousser à la première occasion et un petit haut noir très doux sur le corps. J'avais trouvé dans le placard, une paire de chaussures à talons, ouverte derrière, paliant ainsi la différence de pointure.
Je m'étais habillé devant la grande glace de notre salon, essayant diverses combinaisons d'habits et de sous-vêtements. Une fois apprêté, je me suis regardé sous toutes les coutures dans le mirroir, soulevant ma jupe pour voir mes fesses ou pour passer ma main sur le tissu du string déjà tendu par un début d'érection.
J'ai ensuite passé le reste du temps à attendre ma femme, vaquant à mes activités normales ou presque. Devant mon ordinateur, assis les jambes légèrement écartées, j'avais du mal à me retenir. J'étais tellement excité que j'avais envie de sortir mon sexe de son écrin de dentelle, pour me masturber. Mais attendre ma femme augmentait mon désir et mon excitation. Lorsque je me déplaçais dans l'appartement, les talons hauts me faisaient cambrer les reins au maximum, et je sentais mes fesses se projeter en arrière, presque malgré moi.
Heureusement, ma femme, certainement guidée par la fameuse intuition féminine, arriva beaucoup plus tôt que d'habitude. Ouf !
En entendant la clé dans la porte, j'allais m'assoir sur le divan, les jambes croisées, le nylon des bas se frottant l'un contre l'autre, me fit des frissons dans toute la colonne vertébrale.
En entrant dans la pièce, ma femme me découvrant ainsi vétu, laissa éclater un grand sourire coquin. Au lieu de s'approcher, elle descendit très lentement la fermeture éclair sur le côté de sa robe. le tissu glissa sur le sol pour la dévoiler parée d'une nouvelle guépière blanche et bleue avec string assorti. Elle marcha très lentement vers moi et vint se placer à mes cotés. Comme je m'allogeais en arrière, elle se colla contre moi dans un mélange de nylon et de dentelles qui nous électrisa de plaisir des les premières secondes...
N'ayant pas travaillé ce jour-là, j'avais passé la grosse partie de l'après-midi vétu d'un porte-jarretelle rouge, d'une paire de bas noirs, d'un string rouge, d'une jupe rouge, facile à retrousser à la première occasion et un petit haut noir très doux sur le corps. J'avais trouvé dans le placard, une paire de chaussures à talons, ouverte derrière, paliant ainsi la différence de pointure.
Je m'étais habillé devant la grande glace de notre salon, essayant diverses combinaisons d'habits et de sous-vêtements. Une fois apprêté, je me suis regardé sous toutes les coutures dans le mirroir, soulevant ma jupe pour voir mes fesses ou pour passer ma main sur le tissu du string déjà tendu par un début d'érection.
J'ai ensuite passé le reste du temps à attendre ma femme, vaquant à mes activités normales ou presque. Devant mon ordinateur, assis les jambes légèrement écartées, j'avais du mal à me retenir. J'étais tellement excité que j'avais envie de sortir mon sexe de son écrin de dentelle, pour me masturber. Mais attendre ma femme augmentait mon désir et mon excitation. Lorsque je me déplaçais dans l'appartement, les talons hauts me faisaient cambrer les reins au maximum, et je sentais mes fesses se projeter en arrière, presque malgré moi.
Heureusement, ma femme, certainement guidée par la fameuse intuition féminine, arriva beaucoup plus tôt que d'habitude. Ouf !
En entendant la clé dans la porte, j'allais m'assoir sur le divan, les jambes croisées, le nylon des bas se frottant l'un contre l'autre, me fit des frissons dans toute la colonne vertébrale.
En entrant dans la pièce, ma femme me découvrant ainsi vétu, laissa éclater un grand sourire coquin. Au lieu de s'approcher, elle descendit très lentement la fermeture éclair sur le côté de sa robe. le tissu glissa sur le sol pour la dévoiler parée d'une nouvelle guépière blanche et bleue avec string assorti. Elle marcha très lentement vers moi et vint se placer à mes cotés. Comme je m'allogeais en arrière, elle se colla contre moi dans un mélange de nylon et de dentelles qui nous électrisa de plaisir des les premières secondes...
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n hésitez pas à m ecrire, soieNoire aussi biensur
soyeusement votre
fan de satin également, j adore votre culotte brillante
J'adore la 1o photo..