soienoire
Desir de femme
ensoleillé. Je m'enroulai dans mon peignoir de soie, ( je me sens bien dans la soie
et cette nuisette si fluide et si légère ) à peine arrivait-elle sous mes fesses, mais
elle ne me réchauffait pas.
J'allais me rafraîchir le visage à la salle de bain avant d'aller prendre mon café, en
le sirotant je songeais à ce que j'allais faire de ma journée; ha oui j'avais rendez-vous
en milieu d'après-midi avec mon ami, il fallait que je me fasse belle nous en étions
qu'à notre quatrième rendez-vous.
Imperceptiblement juste à penser à lui, une chaleur gagnait mon corps et en même
temps ma peau frissonnait. J'aimais cette sensation et instinctivement je passais
ma main sur mes cuisses, comme pour la prolonger. J'aimais le doux contact de
la soie sur mes cuisses, je me sentais bien, je la sentais glisser sur ma peau, la tête
penchée en arrière je me laissais aller à mes douces pensées.
Je me revoyais il y a deux jours, me préparant pour notre dernier rendez-vous , ho
oui je me rappelle ce jour, cette scène, j'avais décidée d'être belle et sexy, je voulais
être inoubliable.
Nous devions dîner ensemble et il devait passer me prendre à 19 heures, cet après-midi
là j'étais toute excitée au fond de moi je savais que nous allions passer notre première
nuit d'amour, tout devait être parfait et je devais être parfaite.
J'avais passé ma journée à m'occuper de moi, après un bon bain moussant, je
traînassait dans mon peignoir vagabondant entre un café et quelques vues sur
mon placard, je voulais tout mettre et rien à la fois. Après une séance douloureuse
mais non moins excitante d'épilation, j'avais réussie à me rendre douce et presque,
sinon aussi parfaite, que ces mannequins qui arpentaient les panthouses. Ce ne fut
pas une mince affaire, je dois l'admettre surtout lorsqu'il a fallut s'occuper de la région
de mon intimité. J'avais déjà réfléchis à quelques ensembles de lingeries fines et j'hésitais
encore entre le mini string et le style brésilien en dentelle, un peu plus soft mais
beaucoup plus sexy à mon goût.
Il fallait donc qu'il en reste le minimum, j'avais réussis tant bien que mal et je dois
admettre que mes essayages devant le miroir étaient du plus terrible effet, c'était
impeccable même avec ce petit string. J'avoue que j'adorais me regarder je me
trouvais belle et désirable, j'allais enfin chercher mes dessous.
J'avais opté pour des bas noirs en voile, mais avec une large jarretière en dentelle fine,
ils étaient vraiment beaux, et ils devaient l'être, tout devait être parfait.
J'allais donc dans ma chambre là où j'avais le plus grand de mes miroirs, deux mètres
sur un mètre cinquante. C'était coquin mais au moins je ne pouvais rien louper de moi,
ni parfois de mes ébats, mais ça c'était une autre histoire. J'enlevais donc mon peignoir,
les rougeurs de l'épilation avaient presque disparues, j'étais nue et je ne pouvais cesser de
me regarder si je me sentais belle il me trouverait belle.
Je me badigeonnais de crème douce et parfumée sur le corps, me massant légèrement
les jambes je remontais jusque mon ventre mes seins, je commençais à ressentir mon
désir.
Je commençais donc par mettre ce super porte-jarretelle que j'avais dégoté dans une
lingerie du centre de Paris, il n'était pas donné mais il était magnifique enfin pour
une fervente amatrice de lingerie fine.
Il me prenait bien le ventre et le bas des reins, sa large dentelle noire arrivait juste
au dessus du pubis, c'était comme un habit, à lui seul il décorait mon corps et le
mettait déjà en valeur. Je passais mes mains par dessus, l'ajustant délicatement et
me cambrant pour le voir sous tous les angles. Ha oui, j'étais déjà très sexy.
Je mis ma jambe sur le bord du lit, commençais à enfiler mon premier bas, il
remontait doucement et je l'accrochais. Ces petits bout de soie qui cachaient les
fermoirs de mon porte jarretelle donnaient un air très coquin. Ma jambe paraissait
déjà si longue, si fine, douce et belle tous mes petits défauts avaient disparu laissant
place qu'au charme et à la sensualité.
C'est vrai que ces préparatifs étaient langoureux, plus je me voyais habiller et
plus une sensation de plaisir gagnait mon corps, il émanait une sensualité à nulle
égale. Elle était pour moi, pour lui enfin, pour nous. Oui je dois l'avouer, je me
trouvais de plus en plus belle, de plus en plus désirable.
Après avoir mis le deuxième bas, j'enfilais mes escarpins avec mes talons hauts
et fins, je me retournais sur moi même devant ce miroir et je ne pu cacher mon
émotion. J'étais là, cambrée, m'admirant, faisant des mimiques de starlette, me
caressant le corps, mes seins remontés par ce wonderbra me faisait un décolleté
presque choquant, mais j'étais si belle.
Plus je m'admirais et plus une chaleur gagnait mon corps, je passais mes mains
sur mes seins, les effleurant, je trouvais cela très bon, et je commençais à ressentir
une certaine excitation à me regarder, je me désirai tout simplement.
C'est ainsi que, tout naturellement, je continuai à me caresser faisant jouer mes
mains sur ma peau douce et ces morceaux de dentelles fines, la chaleur montait de
plus en plus en moi, surtout lorsque j'effleurai le bout de mes seins par dessus mon
soutien gorge, je sentais mes tétons tout durcis, cela me plaisait. Je m'assis sur le
bord de mon lit, mes mains commencèrent une danse sur mon corps, instinctivement
mes jambes s'écartèrent et une chaleur avait gagné l'intérieur de mon intimité.
Ma peau était si douce sur mon pubis cela m'excitait de plus en plus, peut être
était-ce la vue de mon miroir, mais j'effleurai à peine que déjà mon clitoris
commençais à se tendre, j'avais le temps et surtout pas envie de m'arrêter.
Je faisais glisser doucement mes doigts sur mon sexe déjà tout humide mon
autre main caressant l'un de mes seins dont j'avais ressortis le téton, je
l'humectais un peu, ça glissait et mes deux doigts faisaient la même ronde
dans mes parties les plus intimes. Je passais la langue sur mes lèvres, hum oui,
c'était délicieux. Je savourais ce plaisir solitaire.
Je remontais ma jambe pour être plus à l'aise, alternant entre des caresses internes
et externes tout glissait tout se dilatait, mais surtout ce petit bout si sensible
était à présent tout tendu, hum, comme c'était bon, je ne voulais pas aller
trop vite, c'était trop bon, je voulais encore savourer.
Je continuais à mes caresser tout en me regardant dans le miroir. Cette position
, jambes écartées devant le miroir, ces dessous si sexy ho oui, cela m'excitait de
plus en plus. Plus le désir m'envahissait, plus mes doigts agiles naviguaient entre
mes lèvres glissantes et humides. J'insistais sur chaque partie de mon intimité pour
savourer tous les plaisirs, mes doigts jouaient entre mes lèvres et l'entrée de
mon vagin, c'était un vrai volcan, je sentais ce doux plaisir proche de l'orgasme
très proche, chaque parties étaient devenues sensibles et me faisaient ressentir
un plaisir électrique.
Les frissons commençaient à gagner tout mon corps. Je titillais mon clitoris à
nouveau pour qu'il se tende et déverse ce plaisir si intense. J'entrais mon doigt
pour caresser l'intérieur, je me penchais en arrière me dandinant sous l'effet du
plaisir, gémissant doucement, le plaisir extrême allait venir.. je ne pouvais plus
attendre, je m'asticotais de plus en plus tout mon corps était en ébullition.
Je me relevais doucement, et pour satisfaire ce plaisir immense, j'entrai un doigt
au plus profond de moi tout en caressant mon clitoris. Soudain je sentis le plaisir
arriver, j'allais de plus en plus vite retenant presque ma respiration, mon corps était
tout tendu et ne lâchant pas du regard mon miroir pour admirer mon plaisir. C'était
presque intenable, un doigt entrant et sortant et l'autre glissant sur ce petit bouton à
présent tout tendu, hum oui, je ne pu retenir ce plaisir si longtemps les petites
sensations électriques avaient inondé tout mon sexe, mes entrailles puis le reste
de mon corps. Je n'arrêtais pas, savourant chaque spasme de plaisir et gémissant
librement. Ce fut une apothéose, je restais ainsi un moment à passer ma main
doucement jusqu'à ce que le plaisir diminue mais il en était autrement. J'avais
encore beaucoup plus envie de lui. Là, tout de suite, encore plus envie de partager
mon sexe avec lui, l'intérieur de mon corps devant faire 200°C. J'avais encore
plus de désir que ce soit lui qui fasse exploser le volcan au plus profond de mon
corps. Encore plus envie de faire l'amour.
Il était déjà 18h00 zut j'allais être en retard, je repassais à la salle de bain , enfilais
le petit string en dentelle noir que j'avais oublié, j'avais hâte de le voir. Il me
trouvera sûrement le regard pétillant et épanoui mais il ne saura pas vraiment
pourquoi. Hum, j'hésitais mais je lui raconterai sûrement enfin quand ce sera
le moment.
Lorsqu'il sonna à la porte j'avais déjà remonté mes cheveux et enfilé la petite robe noire,
elle était bien coupée mais simple et surtout elle ne laissait en rien deviner, des atouts que
je lui avais préparer dessous.
Nuisettine
récit de Sidonie (photos du net)
Le feu arrière
par Sidonie
par Sidonie
Je me promenais ce soir là dans le cabriolet de ma femme, habillée d'une façon plutôt bourgeoise, exceptés les
dessous très affriolants qui sont ma raison de vivre. J'étais montée voir ma maîtresse en empruntant l'ascenseur de
l'immeuble où elle habite au risque de rencontrer un de ses voisins Malheureusement elle était déjà endormie et
ne répondis pas à mon coup de
sonnette. Je repris donc ma voiture , traversais les ponts, et allais vers une boîte fréquentée par des homos et quelques travestis. Arrivée devant le club, je n'osais pas entrer car je ne l'avais encore jamais fait et avait peur
d'être reconnue ou de me sentir ridicule au milieu des gays .
C'était le mois de juin , il était à peine plus de minuit et je continuais de roder dans la
ville encore animée. J'éprouvais le délicieux mélange du plaisir d'être dans des vêtements féminins et le goût de l'interdit. J'aime ainsi affronter les
regards incrédules des hommes qui ne savent pas très bien si la femme attirante qu'ils perçoivent est une proie ou un repoussoir ridicule. Chaque
feu rouge est un affrontement et je ne sais si je dois détourner le regard ou au contraire m'imposer en regardant dans les yeux. Après une heure de conduite assez lente, je revenais vers chez moi pour me regarder dans la glace, le
rétroviseur étant un miroir trop étroit pour renvoyer ma féminité.
Je m'arrêtais au passage dans mon ancien quartier pour faire quelques pas en face d'une glace géante qui était à un carrefour très calme à cette heure. Je pris beaucoup de plaisir à faire le tour du pâté de maisons, pour une fois
j'avais des chaussures aux talons adaptés à la circonstance, l'imperméable ne dévoilait que très partiellement ma dernière jupe mauve en tulle transparent rendue pudique par un fond de robe opaque.
Le chemisier blanc en satin était
très sage malgré sa forme un peu bouffante, quant aux bijoux, rien que du très classique :collier de perles et boucles d'oreilles en pendentif . Je revins sans encombre vers ma voiture et regrettais de devoir rentrer n'ayant pu me
décider à aller danser. Je décidais alors une dernière ballade du côté de chez ma maîtresse qui acceptait de me voir habillée en femme bien qu'elle n'en raffole pas. Ma femme elle, y étant complètement hostile.
J'avais eu par le passé une autre amie qui s'en était amusée et prenait quelque plaisir à faire l'amour avec un travesti.
Mes expériences dans ce domaine s'étant souvent terminées par une fin de non recevoir.
Je repris donc le chemin des ponts pour profiter encore quelques instants de ma nouvelle tenue, et de la nuit douce qui m'entourer. après quelques hectomètres , je m'aperçus qu'une voiture de police me suivait mais elle était
assez loin et ne semblait pas accélérer. Je ne fus donc pas trop émue.
En fait je dû m'arrêter très vite car le feu devenait rouge, la voiture de police vint alors se mettre sur la file de droite très prés de mon véhicule. Ils étaient quatre policiers plutôt beaux gosses, leur voiture dépassa la mienne et vint la coincer en m'intimant l'ordre de m'arrêter. J
'obtempérais et l'un d'eux me dis que mon feu arrière anti-brouillard était allumé à tort et me demanda mes papiers dont ma carte d'identité et sans aucune remarque désobligeante me fis constater que la visite anti-pollution aurait due être faite depuis quelques jours, et que je méritais une amende de 150 euros .
Il me demanda gentiment de pratiquer cette visite rapidement. Il me semblait que je l'avais échappée belle, c'était en effet la première fois que j'étais arrêtée habillée en femme.
Je repartis doucement , tout s'était passé pratiquement sous les fenêtres de ma maîtresse. J'eus très envie de l'appeler pour lui raconter mon aventure .
Je m'arrêtais donc pour téléphoner sur mon portable, c'est alors que je fus abordée par un jeune homme qui frappa à la vitre de ma portière pour me demander si je pouvais le raccompagner chez lui. Il était en effet presque 2 heures du matin et il n'y avait ni bus , ni tram. J'hésitais un
court instant, puis pour fêter l'issue favorable qu'avait eu ma rencontre policière je le pris à bord .Il fut un peu surpris et perplexe en me regardant, je ne savais pas s'il avait compris que j'étais un homme habillé en femme.
Il monta dans la voiture et je lui demandais sans trop forcer ma voix où il voulait aller. C'était en fait très loin et de plus pas dans la
direction de ma demeure. Je voyais là une excuse pour passer encore quelques instants habillée de pied
en cape. Je commençais donc à rouler doucement vers le lieu indiqué. Il se rapprocha de moi timidement, et me demanda s'il pouvait me caresser, je ne répondis pas .Qui ne dit mot consent , et il commença à poser sa main à la limite des bas et de la cuisse. Je feulais doucement et il monta alors sa main vers ma petite culotte noire qui ce soir là etait en soie. Je sentais mon sexe se tendre difficilement ,entravé dans son écrin soyeux qui n'en pouvait plus.
Nous arrivions dans un endroit désert ou presque, à la sortie de la ville. Je ne savais pas si je devais m'arrêter ou continuer à me faire caresser en conduisant, j'avais peur de perdre mon contrôle et celui de ma voiture.
A ce moment, il enleva mon slip et je dus faire un peu de gymnastique pour qu'il n'entrave pas mes jambes. Je me retrouvais dans la situation rêvée souvent, où
je conduisais nue sous un manteau, ou plus exactement en soutien gorge et porte-jarretelles. Il avait en effet enlevé la jupe et le chemisier en un clin d'œil.
J'étais devenue la prostituée que je souhaitais être très souvent, bravade toujours écartée quand il s'agissait de s'exposer au bord de la rue pour attirer le chaland. Sa dextérité me surprit, car tout s'était réalisé sans gêner ma conduite .
Cela c'était passé sans un mot ou presque et je continuais à rouler après une très courte halte de décarpillage. Il pris enfin mon sexe entre ses doigts, et commença à le caresser avec un foulard en soie qu'il avait jusque là autour de son cou. Je ne savais pas combien de temps je pourrais résister au plaisir qui montait le long de mon sexe.
Il enleva sa ceinture de sécurité et se mit à genoux pour commencer une fellation .
Je continuais de conduire bravement mais je ne savais plus très bien où nous étions . En fait j'étais revenue vers le centre au lieu de continuer d'aller vers chez mon auto-stoppeur. Je m'arrêtais enfin pour profiter de mon plaisir et j'eus une éjaculation extraordinaire dont il ne perdis pas une goutte.
Que devais faire ? Il me demanda s'il pouvait venir chez moi , j'acceptais étant seule cette nuit là.
Arrivés à la maison, il pris une douche , puis me demanda des vêtements féminins. Il souhaitait depuis longtemps s'habiller en femme et n'avait pu emprunter que furtivement des petites culottes ou des soutiens-gorge à sa mère et il m'avoua même en avoir volé aussi sur un étendage prés de chez lui. Je lui prêtais une guêpière qui était à sa taille ainsi que des bas résille et
des chaussures à talons de 10 cm. La perruque qu'il choisit parmi ma collection me surpris. C'était une grande crinière blonde qui lui descendait au milieu des épaules .Elle voulut se maquiller, je dis elle, car ses traits fins la faisaient ressembler à une belle jeune fille.
Je l'aidais donc à choisir un fond de teint mordoré, relevé par une légère coloration des joues et un mascara très doux. Veux tu passer une robe lui demandais je? Elle pris dans mon armoire un fourreau très moulant qui faisait ressortir ses petites fesses, et me prit dans ses bras et commença à m'embrasser les lèvres, sa langue rentra dans ma bouche et elle commença à me déshabiller une nouvelle fois, je me retrouvais donc dans les bras d'une inconnue, qui me désirait.
J'optais moi aussi pour une tenue sexy et je choisis alors un très beau soutien gorge parme assorti d'un string et d'un porte-jarretelles de la même couleur à peine dissimulés sous un déshabillé transparent. Pendant ce temps
Eva, c'est ainsi que je l'appelais, me caressait avec volupté. Je compris alors qu'elle souhaitait que je la prenne car elle m'entraîna dans la chambre où elle s'allongea sur le lit dans une position très suggestive les fesses
pointées vers moi. La fin de nuit fut torride et Eva se sentait très bien ici.
Elle changea plusieurs fois de tenue découvrant ainsi les merveilles de ma garde-robe.
Malheureusement, la nuit s'achevait et ma femme devait revenir le lendemain.
Il me fallut avant le passage des éboueurs reconduire le jeune homme chez lui. C'était la fin du rêve !
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tres sobre, j adore yper sexy, bravo
HUmmm tu as l air à l aise dans cette petite culotte , malgre ton enorme sexe, hummmmm