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Fétichisme de la lingerie et des dessous féminins, blog pour tous ceux et celles qui aiment porter de la lingerie, envoy

Fétichisme de la lingerie et des dessous féminins, blog pour tous ceux et celles qui aiment porter de la lingerie, envoyez vos photos à : soienoire@hotmail.com merci à tous

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soienoire

Série lingerie 2004

culotte "empruntée" à une amie cliquez sur moi...; attention le petit oiseau va sortir la culotte parfumée de ma copine...elle ne la jamais revue............

culotte "empruntée" à une amie cliquez sur moi...; attention le petit oiseau va sortir la culotte parfumée de ma copine...elle ne la jamais revue............
culotte "empruntée" à une amie 
  • Commentaires textes : Écrire

 

En Blanc..suite

 
J'aime la douceur de ces dentelles blanches sur ma peau..
.à peine ai je enfilé ces lingeries que mon excitation vient et c'est délicieux...

un peu moins de poils serait bien mieux
mais que voulez vous.. c'est mon coté "mâle" !!!
Qu'en pensez vous?
  • Commentaires textes : Écrire - Lire (3)

Lire les commentaires textes

  • Le 15/02/2012 à 22:07 par saadé
    j'avoue
  • Le 30/12/2009 à 00:19 par tvAnna
    Quelle photo magnigique!!! Merci
  • Le 18/10/2006 à 10:50 par bi6953
    Bravo pour tes clichés et même avec des poils tu es tout à fait bandant.

 

En Blanc

Aimez vous ce profil? culotte volée à une amie je porte très souvent ce string au bureau belle transparence..non?

Aimez vous ce profil? culotte volée à une amie je porte très souvent ce string au bureau belle transparence..non?
Aimez vous ce profil? 
Une Histoire de Cabine

    

Exhibe en cabine 1 (récit de Superdan)

     Voici une de mes premières “aventures en cabine d'essayage”, qui date de bientôt 20 ans.

     Je venais de m’installer dans le sud de la France, arrivant de Paris, où j’ai eu mes premières expériences de lingerie il y a plus de 25 ans. Mais ceci est une autre histoire...

     Ayant repéré au cours de mes nombreux déplacements une petite boutique bien affriolante à Saint-Cyr sur Mer, dans le quartier piétonnier, mon cœur battait à chaque fois que je m’arrêtais devant la vitrine pour contempler les modèles si délicieux des marques à l’époque les plus sexy (Rien, La Perla, et même Lou, Lejaby et Chantelle.
     Je n’osais rentrer (à l’époque, mes seules expériences avaient eu lieu dans la capitale), jusqu’au moment où, passant dans la ruelle déserte, je me décidai. Pas de cliente dans la boutique, juste la patronne qui me paraissait bien jeune et jolie. Je sus plus tard qu’elle n’était qu’une amie de celle-ci, la remplaçant un jour où elle était alitée.
     Elle était blonde, assez grande, très souriante et décontractée, la trentaine à peine et arborait visiblement une poitrine assez forte (environ 95 C). Assez court vêtue (c’était le début du printemps, et là-bas il fait déjà très doux à cette époque),
elle portait avec malice une petite robe à fleurs, décolletée et sans manche, et ses jambes étaient gainées de noir.
Elle était d’ailleurs plus “accrocheuse” qu’une patronne de boutique habituelle.

     Me demandant ce que je souhaitais voir, je lui dis rechercher un ensemble culotte (string ou brésilien) et porte jarretelles.
Me demandant la taille, je lui précisais “environ 44 ou Large en taille U.S.”, ce qui correspondait à mes mensurations de l’époque. Elle me montra plusieurs ensembles tous plus ravissants les uns que les autres, et, tout en les déposant sur un petit meuble d’exposition pour mieux les étaler, me laissant entrevoir un ravissant soutien-gorge à dentelles,
 en tissu de plusieurs couleurs, que j’avais pu apercevoir quelques minutes auparavant en vitrine,
dans lequel sa belle poitrine battait au rythme de sa respiration.
     L’ambiance, la douceur de l’endroit, la gentillesse de la vendeuse, le toucher des matières étalées devant mes yeux, tout cela concourait à la montée d’un bien-être dont je voulais profiter le plus longtemps possible.
La jeune femme me demanda quelle taille de soutien gorge je souhaitais.
Sous le coup de l’émotion, enhardi par son discours calme, je lui lançai, sans même y penser :

     - C’est pour moi, je n’ai pas besoin de soutien-gorge, j’espère que cela ne vous choque pas...

     Elle me répondit que non, mais qu’elle était surprise de ma réponse.
 Elle me dit alors qu’elle assurait un remplacement temporaire et amical dans cette lingerie, la patronne étant souffrante,
et de ce fait n’était pas habituée à ce genre de client, bien qu’en ayant entendu parler par son amie propriétaire des lieux.
Elle eut alors avec moi une attitude plus ouverte, comme si elle parlait avec une autre femme, et non avec un homme venant chercher un cadeau pour une amie.
     Je m’enhardis à lui demander quels genres de bas pourraient aller avec un ensemble camaïeux vert,
 dont elle m’avait montré le string, le joli porte-jarretelles et la guêpière assortie.
Elle m’avoua qu’elle adorait elle-même porter ce genre de choses, et souleva sa robe jusqu’à la cuisse
afin de me montrer les bas qu’elle portait si bien, avec une bande de dentelle en haut d’au moins quinze centimètres,
en résille très fine, à la fois solides et fins, attachés au porte-jarretelles de l’ensemble que j’avais déjà deviné en
regardant son décolleté Ce fut pour moi comme un coup d’électricité, cependant je ne voulais ni sortir de mon “rêve”,
ni risquer le moindre faux pas qui l’aurait bloqué ou apeuré.
     J’osai un :

     - Auriez vous une telle paire, en taille 1 ?

     Et là, je crus que le ciel allait me tomber sur la tête, quand elle me répondit :

     - Bien sûr, je suppose que vous souhaitez essayer l’ensemble ? Normalement, on ne peut faire
essayer les bas et les culottes, mais je pense que vous êtes correct et propre, aussi vais-je faire une exception,
et puis après tout, je ne suis que remplaçante !

     Le tout sur un ton enjoué. Craignant l’arrivée soudaine d’une cliente, je lui demandai alors :

     - Si vous préférez, je peux revenir plus tard, juste avant la fermeture par exemple...

     Cette proposition m’avait déjà servi en pareil cas pour mettre en confiance une lingère un peu étonnée,
voir stupéfaite d’une telle situation.
     Elle me répondit que, la rue étant en travaux, elle ne voyait, hélas que peu de clientes depuis ce matin, et que,
si j’étais d’accord, elle allait donner de suite un tour de clé à la porte.
     Ce qui fut dit fut fait, et, pendant ce temps, mon excitation ne faisait que croître. Je pénétrais donc dans une
cabine d’essayage,
la vendeuse fermant le rideau derrière moi en me rassurant sur le fait que personne ne viendrait me déranger pendant mon essayage, et tenant à la main la série d’articles sur lesquels j’avais “flashé”.

     Prenant sur moi afin de ne rien montrer de mon émoi, je me mis vite nu, la seule solution afin de me vêtir des
 sous-vêtements que j’étais déjà bien décider à acquérir. Une main souleva légèrement le rideau afin de me
 passer les objets de ma convoitise. Hélas ma queue s’était raidie dans une superbe érection comme les jours de grande excitation,
et pour enfiler le string, ce fut plutôt difficile, mon sexe à la verticale sortant de l’étoffe au-dessus de la ceinture,
 gland décalotté et turgescent.
J’arrivai quand même à passer le porte-jarretelles, à le fixer par ses deux agrafes, à faire passer les jarretelles
sous l’élastique du string, à enfiler doucement les bas que la vendeuse m’avait confiées, pour ne pas les filer et aussi
pour profiter de ce délicieux moment, à mettre en place le tout et à fixer les bas, le tout sans toucher ni frôler ma bite,
car je crois qu’à ce moment, j’aurais déchargé toute ma jute dans la cabine tellement j’étais sur le point de tout cracher.
     Enfin paré, la jeune femme qui devait, au bruit, sentir que j’étais prêt, me dit avec une voix trouble :

     - Si vous êtes prêt, voulez-vous que je vous dise si cela vous va ?

     Incapable de la moindre réaction, sans penser aux conséquences possibles de mon allure devant elle,
je l’invitai en murmurant à tirer le rideau afin de me donner son avis. D’un coup sec, elle tira complètement le rideau,
 et, par chance, l’ouverture de la cabine n’était pas visible de la rue.
     Elle resta là quelques secondes, stupéfaite, constatant mon érection magistrale entourée de tant de douceur,
et moi, je ne fus capable que de bredouiller quelques excuses. Et, comme par miracle, c’est elle qui détendit la situation :

     - Bien sûr, j’aurais pu me douter que l’effet que vous fait cette lingerie sur le corps ne vous laisse pas indifférent,
c’est un peu comme moi, quand je me pare de la sorte en sachant que je vais éveiller le désir de celui pour lequel je le porte,
ou parfois mon plaisir si je suis seule !

     Cette confession me rassura, et, osant quelques mots je lui demandai si l’ensemble n’était pas trop ridicule.
Elle me répondis que non, que c’était la première fois qu’elle voyait un homme ainsi vêtu, qu’elle en était émue
et que c’est aussi pour assouvir cette curiosité qu’elle m’avait si gentiment proposé un essayage. Elle trouvait
que cela m’allait bien, me fit tourner devant la glace pendant un temps qui me parût un siècle, et osa replacer
elle-même l’élastique du string dans la raie des fesses.

     C’en était trop, et je m’entendis lui demander, comme dans un rêve, si elle permettait que je me soulage
de cette tension devant elle, en précisant que, bien sûr, j’allais acheter l’ensemble, et qu’un kleenex aurait raison
de ce que j’allais déverser.
Décidément, la magie continuait, car elle me proposa de me soulager elle-même, avec la main bien sûr afin de préserver les apparences. Se glissant presque derrière moi, frottant sa robe sur l’arrière de mes lingeries, elle s’accroupit, me laissant apercevoir le reflet dans la glace du haut de ses bas, de l’attache d’une de ses jarretelles et de son petit string
cachant à peine sa touffe apparemment blonde comme ses cheveux, et passa son bras gauche autour de mes hanches commençant à me branler, me regardant, ainsi que ma bite et sa main dans la glace qui me faisait face, tout doucement,
je dirais presque maladroitement.

     Heureusement, cela me permit de tenir un peu, car j’avais la jute au bord des couilles.
Je me plaçai donc en extension sur la pointe des pieds à cinquante centimètres de la glace, et, en bredouillant
les premiers mots crus que je me permettais depuis le début de cette séance, je me préparais à exploser tout en disant :

     - Vas-y, branles moi fort, caresses mes couilles en même temps, fais moi gicler, je suis ta cochonne, regardes ma queue qui sort du string, je vais juter sur mes bas, mon foutre va tout arroser, je pars, je jouis, j’explose, vas-y, je vais balancer tout mon jus pour toi...

     Et, au sommet de l’excitation, je me mis à balancer ma jute en puissants jets sur la glace, puis dans sa main droite
qu’elle avait disposée en cuillère sous ma queue, j’avais l’impression que cela n’en finissait pas, que je déversais des
litres de foutre partout dans cette cabine, et cette damnée belle salope qui n’en finissait pas de me branler, de me malaxer les couilles en une caresse douce et puissante à la fois, avec sa main pleine de sperme.
     L’excitation retomba un peu enfin, et cette branle me parut durer un temps considérable, il fallut que je lui demande de ralentir ses caresses. La glace était pleine de jute, de mes bas coulaient de longues traînées, et ma bite, reprenant un volume plus raisonnable, pendait maintenant au-dessus de la ceinture du string, avec les couilles rouges des caresses que la fille venait
 de leur prodiguer, le tout tâchant le petit triangle de tissu de marques blanchâtres si caractéristiques.

     Reprenant mon souffle et une certaine assurance (après tout ne venais-je pas d’exaucer un fantasme au-delà de toute espérance ), je me mis à reprendre la discussion avec elle.
Elle me fit alors comprendre qu’elle espérait maintenant, après tout ce que nous venions de vivre, aller elle aussi au bout de son excitation, et me demanda alors si je pouvais la laisser se toucher devant moi, car l’ambiance et la lingerie étaient en train de lui faire perdre raison.
J’acceptais volontiers, lui proposant à mon tour une aide de la main ou de la bouche si elle le souhaitait.

     Elle me demanda de l’aider à descendre le zip de sa petite robe, qui tomba à ses pieds dans un doux bruissement,
révélant cette si jolie fille dans l’écrin de sa lingerie, je ne m’étais pas trompé, c’était bien l’ensemble
 aperçu tout à l’heure en vitrine, mais porté par un mannequin bien vivant, et si adorablement sexy !

     Glissant avec une grâce toute féminine son mini slip sur ses pieds, le faisant passer au-delà de ses chaussures
(à talon, c’était pour moi un jour de chance), elle me le donna comme pour m’offrir un trophée. Je le portai à mes narines,
humant avec vigueur son parfum de chatte bien entretenue, avec un zeste de musc dévoilant toute son excitation du moment.
 Je me plaçai assis par terre, face à elle, dos à la glace, prêt à lui venir en aide.
 Elle commença alors un ballet de sa main gauche autour de son clitoris déjà tout bandé, là, à quelques centimètre de mes yeux,
et joignant sa main droite encore pleine de sperme pour écarter ses lèvres si douces, je me rendis compte alors qu’elle était soigneusement épilée, tout autour de la chatte et un peu au-dessus des lèvres, je commençai une caresse sur ses fesses,
 à peine appuyée, juste en l’effleurant, et en me glissant petit à petit dans son sillon fessier, mais sans insister sur l’ouverture de celui-ci.

     Elle me saisit alors la tête, avec l’insistance voulue pour me faire comprendre qu’elle désirait une intime caresse de la bouche, des lèvres et de la langue. Je m’exécutai bien volontiers, prenant tout le temps nécessaire à bien laisser monter en elle,
et avec elle, un plaisir que je sentais maintenant venir du plus profond d’elle-même, je passai derrière elle, afin de mieux
profiter de ma position pour lui offrir un cunnilingus et un anulingus langoureux que j’avais à ce moment très envie de lui
offrir, et aussi pour mieux profiter de son image dans la glace.
     Me sentant commencer à lui fouiller, téter, aspirer, respirer ses deux trous qui humaient bon un mélange de parfum
oriental et de saveur musquée de mouille abondante, elle sortit ses magnifiques seins de leur cage, et commença à se
 trémousser lentement au rythme de ses caresses, synchronisées à mes coups de langue. J’apercevais de temps en temps
dans la glace ses seins généreux ballottant au rythme de notre lambada.
Bien sur, mon excitation, pourtant bien calmée tout à l’heure, revenait elle aussi, ma trique renaissante en était le témoin. Sentant son désir s’accroître, et malgré la position de ma bouche, j’arrivai quand même à fuser à nouveau les mots qui, je le savais maintenant, l’aidaient dans la montée de sa volupté :

     - Vas-y, petite salope, branles toi bien pendant que je te fais minette, tu sens bien ma langue te fourrer la chatte et le cul ?
Je t’encule, je te lèche, je te baise, oui... c’est bon... lâches ton foutre dans ma bouche, je t’avale, je te sens…

     Ses gestes de branle amplifiant, elle s’écrasait maintenant la chatte, le clitoris et le cul avec une main, et, me reculant
pour mieux l’admirer, je voyais dans la glace une vraie salope en rut se masturbant sauvagement en haletant,
ses seins lourds ballottant en tous sens.
 Elle s’écartait le plus possible, tirant fort une de ses lèvres pendant que l’autre main s’activait rudement sur son bouton.
 Elle commença d’éructer des mots crus, elle aussi, du style :

     - C’est trop bon, je suis une grosse salope, une cochonne qui aime la bite, j’aime me branler fort, je tremble, je pars, je jouiiiiiiiiiiis, aaaaaaaaaaah…
     Une énorme vibration la terrassa, la clouant sur place comme un homme qui jouit, pendant plusieurs dizaines de secondes
 elle n’était plus qu’un corps animé de convulsions, et puis, peu à peu, retrouva ses esprits, s’assit par terre, mélangeant nos dentelles en de voluptueux crissements.

     - Çà va mieux ! Me dit-elle en cherchant encore sa respiration.
 Excuse- moi, tu vas me prendre pour une salope, mais, l’ambiance, te voir comme çà,
et pourtant je m’étais juré de ne pas tromper mon copain !

     Elle essayait de se justifier, mais en fait, elle avait été prise, comme moi, d’une irrésistible envie de vivre ces instants magiques jusqu’au bout. Je la rassurai, lui expliquant, ce qu’elle comprit fort bien, le cheminement de ma rêverie en entrant dans cette boutique, et le fait que rien, dans ce qui s’était passé, n’était prémédité, ni de ma part ni de la sienne,
 et qu’après tout il n’y avait pas eu pénétration, qu’en aucun cas bien sûr, je ne la prenais réellement pour une salope, tout au plus nous étions nous allés à un discours fort de corps affamés, et que je la respectais dans sa dignité et dans son intimité.
Rassurée, elle me regarda, et, tout en me disant :

     - C’était divin, une première expérience que j’ai beaucoup aimée... Dommage que mon copain n’aime pas plus les lingeries... Alors, tu reviens quand tu veux, ok ?

     Bien sûr que j’étais d’accord, alors il ne restait plus qu’à remettre un peu d’ordre dans toutes ces dentelles souillées et aller respirer un grand bol d’air dehors.
     J’eus droit à une remise sur l’ensemble que je venais d’acheter (sans avoir rien demandé !) elle refusa de me donner son téléphone personnel (mais en avais-je vraiment envie, c’est l’ambiance de ce qui venait de se passer qui donnait toute sa magie à cette super séance !).
     Me gratifiant d’un petit baiser sur le coin des lèvres, la “vendeuse” me fit sortir du magasin, non sans avoir vérifié si personne dans la rue n’avait été alerté par notre manège, et me demanda si je pouvais repasser un jour prochain, car, d’après elle, elle me gratifierai d’une “surprise”. Prenant congé, je lui promis une visite prochaine.

     Revenu quelques jours plus tard dans la même ville, je repassai dans la ruelle et pénétrai dans la boutique, bien décidé à retenter une si agréable expérience.
Une dame d’une cinquantaine d’année, habillée chic mais pas choc me reçut aimablement, et, à ma question “votre vendeuse n’est pas là ?”, me répondit aussi sec

     - Je n’ai pas de vendeuse, mais si vous parlez de la jeune femme qui m’a remplacée quelques jours, je vais mieux,
merci et n’ai plus besoin d’elle. De toute façon, c’est une relation et elle n’a pas de qualification en matière de lingerie, alors...

     Je quittai la boutique, déçu, la patronne venait de perdre un client et, d’après moi, une “super vendeuse”...

    récit de  Superdan..merci














                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                         
  • Commentaires textes : Écrire - Lire (3)

Lire les commentaires textes

  • Le 04/09/2014 à 16:30 par Soumjulia
    J'aime beaucoup cette histoire elle est rès excitante quelle chance il a eu de tomber sur une jeune femme comme celle avec qui il a eu le privilège de jouer et surtout de porter de la lingerie
  • Le 21/06/2010 à 20:43 par petiteculotte - Site web
    moi aussi j'aurais aimé pareil
  • Le 21/06/2008 à 07:37 par fredie
    superbe,j'ai bandée pendant toute la lecture

 

En rouge

 
Recit très chaud d'Amanda

Exhibitions sur l'autoroute
 
Dix huit heures ; la nuit tombe déjà sur la petite ville. Ma décision était prise depuis plusieurs jours, après des semaines d'hésitation et le moment est arrivé.
Je n'ai pensé qu'à ça toute l'après-midi et je n'est guère été efficace dans mon travail.
Je quitte fébrilement le bureau et retrouve ma voiture au parking.

Caché dans le coffre, le sac noir est toujours là.

En démarrant, je salue au passage une collègue de bureau ... si elle savait ce que je vais faire !
Je sors tranquillement de la ville et me dirige vers la bretelle de l'autoroute. Un ticket et direction Toulouse.
Quelques kilomètres plus loin, je serre à droite pour m'arrêter sur une aire de repos quasiment déserte à cette heure.
Je ne m'arrête pas là par hasard ; j'y étais venu plusieurs fois et j'avais observé le manège de quelques voitures et des silhouettes furtives d'hommes se dirigeant vers les bois, à l'arrière de l'aire de repos.

J'ai garé ma voiture un peu à l'écart, dans un endroit sombre.
Je récupère mon sac noir et me dirige vers les toilettes.
Je suis seul et c'est plutôt rassurant. Je sors de mon sac en tremblant un peu tout ce qui va me servir à présent à assouvir mon fantasme.

Bien sûr, je n'en était pas à mon premier essai ; depuis de nombreuses années, à la moindre occasion, je le faisais, seul ou en compagnie, mais sortir ainsi dehors, c'était pour moi complètement inédit.
D'abord le soutien-gorge et le string assorti ; j'ai choisi un ensemble rouge et noir, très sexy.
Je me déshabille rapidement dans la lumière blafarde des toilettes.
 Il fait un peu frisquet, mais peu importe.
J'enfile lentement mes bas Dim'up, puis le string dont la ficelle me rentre délicieusement dans la raie.
J'ajuste le soutien-gorge qui enrobe mes tous petits seins. Ce matin, après ma douche, je m'étais soigneusement rasé les quelques poils de la poitrine ainsi que ceux des fesses.
 Des escarpins ont remplacé mes chaussures d'homme quand soudain, un bruit de pas.
J'arrête tout mouvement, inquiet. Dans la cabine voisine, un bruit d'urine puis de chasse d'eau ... la porte claque ... ouf, je respire.

Je finis de m'habiller en passant une jupe courte et un pull en V très échancré. Fébrilement, je coiffe ma perruque châtain et bouclée. Des boucles d'oreilles, un peu de rouge à lèvres et je suis devenue Amanda.
Je range en vitesse mes affaires d'homme dans le sac et j'écoute les bruits de l'extérieur.
Je n'aimerais pas rencontrer ainsi vêtue des employés de l'autoroute ou des gendarmes.
Un grand silence semble régner, seulement entrecoupé par le bruit des véhicules circulant un peu plus loin sur l'A 62.

J'hésite encore ; je suis très excitée mais j'ai un peu peur.
J'ai presque envie de me rhabiller mais le désir est plus fort depuis le temps que je rêve de cet instant. Je sors. Ne sachant pas si d'autres voitures sont arrivées, je quitte les toilettes par l'arrière et, avec un petit détour par le bois, je regagne ma voiture.

Le sentiment de l'air s'infiltrant sous la jupe et du crissement des bas est très excitant, mais je veux d'abord me mettre à l'abri pour inspecter les abords. Un camion s'est arrêté assez loin, à l'autre bout du parking, et une voiture arrive lentement et se gare à une vingtaine de mètres de moi. Je me tasse sur mon siège.
Un couple en descend et tandis qu'elle se dirige vers les toilettes, lui sort fumer une cigarette.
J'ai très peur qu'il vienne vers moi mais heureusement, il va faire quelques pas dans l'autre direction.

Quelques minutes plus tard, ils repartent en me laissant tout seul. Il y a encore le camion, mais il est loin.
Je me décide enfin et sors de la voiture. je fais quelque pas sur le trottoir en m'efforçant de féminiser ma démarche puis je m'enhardis. Je m'éloigne de plus en plus de la voiture, reviens, repars...
l'excitation commence à me gagner et mon mini-string a du mal à contenir mon sexe.

Soudain, des phares éclairent la bretelle d'accès à l'aire de repos. Pas très à l'aise sur mes escarpins, je regagne ma voiture à la hâte. Le véhicule se gare un peu plus loin, éteint ses phares.
J'observe le conducteur qui a l'air seul et pas très pressé de sortir.
 Il finit par ouvrir la portière et se dirige lentement vers les toilettes, jetant un coup d’œil furtif dans ma direction. Je ne le vois pas ressortir du côté du parking et j'aperçois quelques minutes plus tard sa silhouette qui pénètre dans l'ombre du bois.

N'ayant pas trop de doutes sur ses intentions, je sors de ma voiture, claque la portière pour attirer son attention et je vais m'asseoir sur une table de pique-nique un peu cachée dans le bois à une dizaine de mètres de là.
Je croise les jambes pour exhiber le haut de mes bas, fait glisser le pull sur une épaule pour dégager la bretelle du soutien-gorge et j'attends, cambrée et fébrile.
A cet instant, je me sens vraiment femelle, semblable à une pute qui attend le client. Mon sexe durcit un peu sous ma jupe.
 L'homme ne m'a pas encore vu. Ayant repéré ma voiture, il se doute que je suis, comme lui, à la recherche d'une rencontre furtive. Il ressort du bois, revient vers ma voiture et, constatant que je ne suis plus à l'intérieur, revient dans le bois et m'aperçoit.

Il s'avance dans l'ombre, à pas lents.
Je croise mes jambes le plus haut possible, remonte un peu ma jupe en me cambrant au maximum. Il vient vers moi et me détaille ; sans dire un mot, il avance la main et me caresse les jambes en remontant à la lisière des bas.
Je me laisse faire en décroisant les jambes puis je les écarte légèrement, bien offerte. Il a une quarantaine d'années et son physique est quelconque, mais peu m'importe.
Ses deux mains à présent remontent le long de mes jambes, vers le string.
 Il s'approche du sexe et le caresse doucement à travers le satin, comme s'il voulait vérifier que j'étais bien un travesti.
J'écarte encore les jambes pour libérer mon sexe à présent dressé et libère un sein de l'emprise du soutien-gorge.
Sa bouche attrape à présent la pointe de mon petit sein et je sens sa langue qui l'humidifie puis ses dents qui le mordillent.
Je pousse un petit cri de plaisir et il accentue la morsure tandis que sa main droite me caresse le sexe franchement.
Son sexe se frotte contre mon genou et je fais sauter un à un les boutons de sa braguette pour le saisir.
je le branle longuement tandis qu'il continue à me travailler le bout des seins.

Je tombe alors à genoux tandis qu'il s'assoit sur la table en bois.
Son sexe est assez fin mais long et, sans le prendre encore en bouche, je passe doucement la langue le long de sa tige.
 Il prend ma tête entre les mains pour me contraindre à le sucer ce que je fais après lui avoir demandé de mettre un préservatif.

Soumise, les mains dans le dos, je le travaille de ma bouche en cadence.
Le sentant proche de l'explosion, je l'abandonne un moment car je veux qu'il me prenne comme une chienne. Je remonte lentement le long de son corps et tente de l'embrasser, mais il refuse mon baiser.
Sortant alors un tube de lubrifiant, je m'appuie contre la table et m'enduit longuement le petit trou après avoir oté ma jupe.
Il me regarde onduler les fesses et m'introduire deux doigts, puis trois afin de bien me préparer.

Vêtue seulement de mes bas, de mon soutien-gorge et de mon pull relevé, le string abaissé au niveau des genoux, je l'excite au maximum par une exhibition obscène.
Bientôt, il n'y tient plus et m'attrapant par les hanches, il m'enfile assez brutalement, m'arrachant un petit cri de douleur qui fait vite place à du plaisir. Il me pistonne et je sens mon cul s'ouvrir, accueillant à présent toute la longueur de sa queue.
De sa main droite, il me pince le sein ce qui déclenche en moi une jouissance extraordinaire, plus forte que si j'avais éjaculé.

Malheureusement, il jouit très vite au fond de mon cul et se retire en le laissant béant.
Comme tous les hommes dans ces cas là, il se débarrasse rapidement du préservatif, s'essuie avec un mouchoir en papier, se rajuste et, balbutiant un vague merci, regagne sa voiture.

Je suis heureuse, presque comblée.
 Je remonte mon string, remets ma jupe et regagne tranquillement le parking en ondulant des hanches.
Lui a déjà redémarré, mais une voiture arrive.

Cette fois ci, je reste dehors, bien en vue, pleine d'espoir ...
Amanda
  • Commentaires textes : Écrire - Lire (6)

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  • Le 22/09/2010 à 21:04 par Lapouffe
    ton histoire sur le parking est excitante,j'ai déjà envisager de faire la même chose mais je n'est jamais osé le faire.Je me doute que cela doit être sublime.je crois que je vais me décider à le faire.Merci pour ton récit,çà m'encourage car je crois que çà en vaut la peine
  • Le 21/06/2010 à 20:51 par petiteculotte - Site web
    j'aime ce minuscule triangle qui orne ta belle queue
  • Le 28/11/2009 à 15:09 par bruno
    rdv possible sur parking A62.je suis chauffeur routier.apelle au 0612232581..bisous partout..
  • Le 12/07/2008 à 17:49 par francine 51
    super je me carresse et j adore me tirer les bout des seins
  • Le 06/04/2007 à 12:47 par Trainmarc - Site web
    J'aime beaucoup ton string en satin rouge, soienoire !
  • Le 06/12/2006 à 10:24 par 20/100
    tres excitante ton histoire.
    j'aurai bien aimé venir sur ce parking pour qu'on se gouine tous les deux ....

 

dentelles noires et blanches

 
  • Commentaires textes : Écrire - Lire (2)

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  • Le 03/03/2011 à 01:24 par Anonyme
    hummmmmmmmmmmmmmmsublime bravo
  • Le 06/04/2007 à 12:48 par Trainmarc - Site web
    ah ce string noir et blanc ! hummm
    la photo humide est très excitante en tout cas !!!!
    Marc

 

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